Porté par les voix singulières de Nosfell et Donia Berriri, Septembre Ardent est une sorte d’opéra de science-fiction pour quatre musiciens extra-terrestres, navigant de concert entre textures organiques analogiques et modulaires, éclats de transes et de musiques instrumentales, chansons et poésies en français et en arabe.

Agnès Jaoui offre, en compagnie de cinq chanteurs et sept musiciens, un concert intime et majestueux. Comme une invitation musicale au voyage dont l’éclectisme n’a d’égal que la délicatesse. Dès 8 ans.

Porté par les voix singulières de Nosfell et Donia Berriri, Septembre Ardent est une sorte d’opéra de science-fiction pour quatre musiciens extra-terrestres, navigant de concert entre textures organiques analogiques et modulaires, éclats de transes et de musiques instrumentales, chansons et poésies en français et en arabe.

Agnès Jaoui offre, en compagnie de cinq chanteurs et sept musiciens, un concert intime et majestueux. Comme une invitation musicale au voyage dont l’éclectisme n’a d’égal que la délicatesse. Dès 8 ans.

Agnès Jaoui offre, en compagnie de cinq chanteurs et sept musiciens, un concert intime et majestueux. Comme une invitation musicale au voyage dont l’éclectisme n’a d’égal que la délicatesse. Dès 8 ans.

Agnès Jaoui offre, en compagnie de cinq chanteurs et sept musiciens, un concert intime et majestueux. Comme une invitation musicale au voyage dont l’éclectisme n’a d’égal que la délicatesse. Dès 8 ans.

Pour cette seconde carte blanche, Marine Mane et Ghislaine Laglantine reviennent sur la construction de l’intime aux abords de l’adolescence, quand la sexualité pointe et que les images pornographiques comme source d’apprentissage viennent s’entrechoquer avec un moi en devenir, sensible, perméable, fait de rêves, de doutes, d’appréhensions.

Trois as de l’improvisation bousculent le format clarinette-­basse-­batterie : un exercice de thriller organique sur le fil du rasoir.

Trois agitateurs de l’hyperactif Tricollectif démantibulent avec finesse le chef-d’œuvre de Neil Young de 1972. Suivi d'une boîte à surprises concoctée par l’union inédite de deux histrions de l’impro : Fantazio & Théo Ceccaldi.

Cette seconde soirée Lignes de crêtes débutera par Epiphanies, pièce solo de Jean-Brice Godet pour clarinettes, dictaphone, radio et objets. On y trouvera des échos entre acoustique et électroacoustique, bruits blancs et sons purs, un long développement, une rupture. Ce flux magmatique de matières sonores se déploiera plus tard dans la soirée par un duo avec le batteur Sylvain Darrifourcq.