Speranza Scappucci et le harpiste Xavier de Maistre pour un programme hors des sentiers battus avec Mercadante, Boieldieu et Cherubini.

Un château hanté au centre d’une intrique fantastique où se succèdent les coups de théâtre, pour l’un des opéra-comique les plus joués Salle Favart. Il enthousiasma Rossini, Wagner et Weber, et inspira même à Hergé la fin du Trésor de Rackham le Rouge. Spectacle en français, surtitré en français et en anglais.

Les salons de 1800 raffolaient de cet élégant Concerto pour harpe de Boieldieu, qui sera ici entouré d'œuvres de Mozart.

La soprano Julie Fuchs et le ténor Eric Cutler font revivre la grande époque de l'institution, dans ce concert de clôture dirigé par Jérémie Rhorer.

L’Orient est un miroir tendu à notre culture européenne. Ses charmes et ses dangers offrent une source d’inspiration féconde à la scène occidentale tandis que les compositeurs, Mozart en tête, découvrent dans les musiques turques le riche univers des percussions. Ce concert replace Auber dans la tradition musicale qui fut la sienne.

Au XIXe siècle, la vie musicale bat son plein dans les salons. Charmante ou pleine de caractère, la romance est contemporaine du lied allemand et annonce l'apothéose de la mélodie française.

Opéra-comique en un acte, tiré d’un conte arabe. Zétulbé, fille de la veuve Lemaïde, confie à sa servante Késie son amour pour un homme qui l’a protégée d’un groupe de brigands, alors qu’elle se promenait seule dans la nuit. Déguisé en homme du peuple, Isauun (le calife), qui ne veut être aimé que pour lui-même, pénètre dans l’humble demeure. Pourra-t-il épouser Zétulbé ?