Reprise événement de la création signée Philippe Decouflé datant de 1998. Un magnifique hommage au cinéma et à la féérie dans une mise en scène pleine de fantaisie et de poésie. Un « must see » absolu.

Avec Tout doit disparaître, Philippe Decouflé invite le public à une déambulation dans le théâtre et dans l’histoire passée et présente de la Compagnie DCA. Une sorte de surprise-partie unique.

L’envers du décor vu par Philippe Decouflé, avec Contact, une création qui invite le spectateur à être un peu plus qu’un... spectateur. Hommage aux comédies musicales et à ceux qui les font, cet opus enchanteur marque son retour à Chaillot.

L’envers du décor vu par Philippe Decouflé, avec Contact, une création qui invite le spectateur à être un peu plus qu’un... spectateur. Hommage aux comédies musicales et à ceux qui les font, cet opus enchanteur marque son retour à Chaillot.

Denis Podalydès met en scène cette comédie lyrique de 1907, très riche et colorée, inspirée d'une pièce de Musset. Une œuvre subtile et amusante qui a gardé toute sa saveur.

A partir de 14 ans. Sur un plateau de paysage lunaire, les danseurs vont chanter et le chanteur danser. Pas d'instruments, mais des voix et des corps qui viennent détourner les chansons et développer des petits récits à travers une chorégraphie ludique. Emporté par la fantaisie des mélodies électro-pop, on s'embarque pour un voyage totalement décalé...

Identité ?… est une forme de journal intime à 4 mains qui traite de la représentation que chacun se fait de lui-même et des malentendus qui en résultent. Redoux, pièce chorégraphique pour sept danseurs, marque l’aboutissement d’une recherche chorégraphique centrée sur le thème du corps démembré, dispersé et recomposé.

Ils sont deux. Ils sont chez eux. Ils sont de l'autre côté de la rue, du plateau. Nous sommes dans la position exacte du quatrième mur. Ils se regardent. Nous sommes chez eux mais nous sommes loin. L'un est assis, nous voyons son visage. L'autre est debout de trois-quarts dos. Ils vont parler ou se sont parlés. Si l'on prend le temps de regarder plus longuement, il se passe quelque chose qui attire l'attention d'une manière presque détournée. Qu'est-ce qu'ils regardent ? Se regardent-ils vraiment ? Ils sont pourtant dans la même pièce.

Ildebrando Biribo’ fut souffleur au Théâtre de la Porte Saint-Martin. A la fin de la première mondiale de Cyrano de Bergerac le 28 décembre 1897, on le trouva mort dans son trou de souffleur. Ce soir, avec l’autorisation du "Grand Manitou", il revient sur terre pour nous livrer ses secrets : sa m

« C’est l’histoire de trois fous qui cherchent à s’échapper d’un hôpital psychiatrique. Ils n’ont qu’un seul rêve : retrouver la Liberté. Ils se laissent guider par leur « folie » dans les dédales de l’asile, surveillés par un psychiatre autoritaire. »