Émilie Baba
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Émilie Baba
Théâtre 13 - Bibliothèque, Paris
- De : Raouf Raïs
- Mise en scène : Raouf Raïs
- Avec : Clémentine Bernard, Boris Carré, Émilie Baba, Erwan Daouphars
Du Pain et des jeux est un spectacle artistico-sportif revendiquant Shakespeare, les athlètes amateur·rices, la culture pop et les arrières salles de bal, une farce sur le rapport entre le sport et le pouvoir…
Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan
- Mise en scène : Thomas Quillardet
- Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
- Mise en scène : Thomas Quillardet
- Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre des Abbesses, Paris
- Mise en scène : Thomas Quillardet
- Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
