Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.

Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.

Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.

Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.

Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.

Contes et légendes celtiques racontés en musique, un spectacle en kilt à écouter soi-même.

C'est l’histoire d’un riche paysan qui possède tout ou presque et qui, en voulant toujours plus finit par se retrouver dépossédé de tout. L'une des comédies les plus âpres de Molière, mise en scène par Jacques Osinski.

Tchekhov a écrit Ivanov d’un trait, en deux semaines. La réaction du public face à cette comédie jugée insolente fut si brutale, que le texte est remanié deux ans plus tard. Le metteur en scène Jacques Osinski revient à la première version d’Ivanov, terriblement savoureuse !

Tchekhov a écrit Ivanov d’un trait, en deux semaines. La réaction du public face à cette comédie jugée insolente fut si brutale, que le texte est remanié deux ans plus tard. Le metteur en scène Jacques Osinski revient à la première version d’Ivanov, terriblement savoureuse !

Un employé modèle, d’une laideur exceptionnelle, se fait opérer le visage. Doté dès lors d’une beauté supérieure, il est envié au point de voir son entourage se faire opérer. Tous, autour de lui, portent bientôt sa figure dupliquée.