Ariane Ascaride donne vie aux mots de Bertolt Brecht dans une création inédite, à découvrir pour la première fois au Lucernaire.

Compositions originales, mélodies jazzy habillées de cordes délicates.

C’est une première esquisse que je propose en cette soirée, pour écouter la résonance de ces chants, de ces poésies, de ces textes. Je ne suis pas un algorithme, je suis un être humain, une femme et j’ai besoin de votre regard, de votre écoute, de votre ressenti pour continuer mon travail.

Ariane Ascaride réunit autour d'elle quatre comédiennes et l'accordéoniste David Venitucci pour rendre un hommage à la « ville lumière » à travers les textes qu'elle a inspirés. En toute humilité et émotion, c'est un moment de partage qui fait du bien !

Depuis plusieurs années, la chanteuse Annick Cisaruk et l'accordéoniste David Venitucci travaillent ensemble en reprenant des chansons comme celles de Barbara et de Léo Ferré. Une envie de création leur est apparue comme une évidence. L'auteur des textes est Yanowski  : Annick Cisaruk se raconte, il l'écrit... David Venitucci a composé les musiques.

Dans ce spectacle, Serge Utgé-Royo, fils d’exilés catalan-castillan, revient aux sources et rassemble ses propres chansons portant la mémoire et les espoirs des siens, ainsi que des chants ibériques ou latino, traditionnels ou originaux...

Il y a parfois des obsessions qui accompagnent nos vies, des images, des odeurs, des sons, des gens, des lieux, des histoires… C’est à de nombreuses reprises que Gaspard LaNuit nous parle de Perec, son écriture singulière, son histoire qui lui fait étrangement écho.

Des maîtres de l'accordéon sont à l'honneur : Jean-Luc Bouffard, Amestoy/Suarez/Dulieux, Quatuor d’Est en Ouest, Daniel Mille trio, Hradcany et Bijan Chemirani.

On pourrait dire de lui qu’il est un héritier de la poésie courtoise : il a de ses pairs d’alors l’élégance chevillée au vers, la justesse ajustée à l’image. (…) On l’aime en compagnie, on l’aime seul, la plume sûre, la voix légère, le verbe réjouissant. Le revoir et l’entendre est toujours une fête.” A.-M. P., Télérama