L’obscurité n’est pas forcément ténébreuse ou noire, elle se traduit par un manque de clarté ou de compréhension, d’un lieu privé de lumière... Le côté obscur, c’est ce que l’on ne dévoile pas ou ce que l’on cherche à dissimuler. Jusqu’à quel point est-il caché en nous ? La découverte de cette part d’obscurité n’est pas sans conséquence. Le chorégraphe Edilson Roque est allé à la rencontre d’un dialogue avec ses interprètes sur leur propre côté obscur.

États de conscience modifiés dans l’art et le rêve, inspirée par le jardin des délices de Jérôme Bosch.

Loin des traditionnels clichés, Edilson Roque veut restituer l’atmosphère de sa ville natale, Rio, son métissage, sa cadence, son bouillonnement vital. L’univers sonore est campé, Edilson Roque y projette ses 6 danseurs dans une danse non-stop, aussi sensible que sensuelle, ample et nerveuse à la fois.

Loin des traditionnels clichés, Edilson Roque veut restituer l’atmosphère de sa ville natale, Rio, son métissage, sa cadence, son bouillonnement vital. L’univers sonore est campé, Edilson Roque y projette ses 6 danseurs dans une danse non-stop, aussi sensible que sensuelle, ample et nerveuse à la fois.

Des femmes, des hommes se cherchent, se rencontrent, s’aiment, se déchirent. Une chorégraphie exigeante, où l’expressivité et l’intensité du geste donnent à ces histoires communes une dimension qui dépasse la simple anecdote.

Des femmes, des hommes se cherchent, se rencontrent, s’aiment, se déchirent. Une chorégraphie exigeante, où l’expressivité et l’intensité du geste donnent à ces histoires communes une dimension qui dépasse la simple anecdote.