Adrian Arcaro

Adrian Arcaro

Élève de Jane Berbié au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, le baryton Adrian Arcaro a débuté ses études musicales par le saxophone avant de se diriger vers le théâtre et le chant. Dès l'âge de 14 ans, il se produit dans des comédies musicales et incarne au théâtre les rôles de Figaro dans Le Mariage de Figaro et celui de Gardefeu dans La Vie Parisienne.

En décembre 1996, il reçoit le Prix Edward James Marshall qui récompense le meilleur espoir masculin au Concours de Mélodies françaises de Saint-Chamond. Les cinéphiles ont eu l'occasion d'applaudir son talent dans la comédie musicale Jeanne et le Garçon formidable sortie sur les écrans. A l’Opéra Studio de Mannheim en Allemagne il chante notamment Papageno et Guglielmo. Il chante en récital à Lyon dans La Belle Meunière de Schubert et se produit également à Biarritz. A l’Opéra de Stuttgart, dans le cadre du Junge Oper il participe à un ouvrage contemporain de Bernhard König, Expedition zur Erde ainsi qu'à une autre oeuvre, Der Schweine Hirt de Schedel. Il chante à l'Opéra de Francfort et Berlin dans des spectacles d’opérettes et à Tours dans La Traviata (Le Baron Douphol). A Toulouse, il obtient un premier prix de chant et tient le rôle du Page dans Amahl et les visiteurs de la nuit de Menotti sous la direction de Michel Plasson. Il a chanté Sigismund dans Ein Walzertraum d’Oscar Strauss au Staatsoper Frankfurt am Main, et tenu le rôle du Kapitain Stone dans Blume von Hawaï, une opérette de Paul Abraham au Staatsoper Berlin unter den Linden.

Pour le Duo Dijon, il a chanté dans La Flûte enchantée en 2004 puis a repris ce rôle en 2005 .Il a également participé à la création du Brave Soldat Schweik de Kurka d’après l’oeuvre de Jaroslav Hasek. Il était successivement Urbain et Gardefeu dans la Vie parisienne. Il y a chanté les rôles de Thierry, Javelinot et le Deuxième commissaire dans Dialogues des Carmélites. Dernièrement, il a chanté Figaro dans les Petites noces de Figaro au Festival de Saint-Céré.

A Dijon, il sera bientôt Mercure et John Styx dans Orphée aux enfers, mis en scène par Régis Santon et Figaro dans Il Barbiere di Siviglia, mis en scène par Olivier Desbordes .

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Adrian Arcaro

Quoi de neuf, Monsieur Mozart ?

Opéra-Comique, Paris

du 10 au 17 mai 2006
MUSIQUE & DANSE Coup de cœur Terminé
  • De : Wolfgang Amadeus Mozart
  • Mise en scène : Mireille Larroche, Béatrice Cramoix
  • Avec : François Harismendy, Joanna Malewski, Edwige Parrat, Mutzuko Oikawa, Stéphane Malbec Garcia, Christophe Gay, Adrian Arcaro, Suren Shahi-Djanyan, Guérassim Dichliev
Année 2006 oblige, l'Opéra Comique propose un opéra tout public, composé d'œuvres originales de Mozart. Un événement à ne pas manquer.
La vie parisienne

Théâtre Silvia Monfort, Paris

du 6 avr. au 29 mai 2005
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Jacques Offenbach
  • Mise en scène : Olivier Desbordes
  • Avec : Brigitte Antonelli, Agnès Bove, Christine Tocci, Christophe Lacassagne, Jean-Claude Saragosse, Eric Vignau, Lionel Muzin, Flore Boixel, Dalila Khatir, Adrian Arcaro, Anne Barbier, Jean-Pierre Chevalier
Dès sa création, en 1866, La Vie parisienne (opéra-bouffe en 4 actes) remporte un triomphe. La bonne société parisienne goûte le reflet que lui renvoie ce miroir impitoyable. Une dimension subversive qu’Olivier Desbordes s’attache à restituer, réalisant à la perfection le rêve d’Offenbach 
La vie parisienne

Le Forum de Blanc-Mesnil, Le Blanc-Mesnil

le 28 nov. 2000
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Jacques Offenbach
  • Mise en scène : Olivier Desbordes
  • Avec : Brigitte Antonelli, Agnès Bove, Christine Tocci, Christophe Lacassagne, Jean-Claude Saragosse, Eric Vignau, Lionel Muzin, Flore Boixel, Dalila Khatir, Adrian Arcaro, Anne Barbier, Jean-Pierre Chevalier
Dès sa création, en 1866, La Vie parisienne (opéra-bouffe en 4 actes) remporte un triomphe. La bonne société parisienne goûte le reflet que lui renvoie ce miroir impitoyable. Une dimension subversive qu’Olivier Desbordes s’attache à restituer, réalisant à la perfection le rêve d’Offenbach