Pour ce deuxième volet du Cabaret de l’exil, Bartabas explore l’univers des Irish travellers ; nomades d’origine irlandaise en exil dans leur propre pays. Une invitation au voyage à découvrir fraternellement autour d’un verre aux saveurs irlandaises.

Pippo Delbono revient au Rond-Point avec sa nouvelle création, un concert vécu comme une ode à l'amour. En italien surtitré.

Deux soeurs, deux voix, un seul chant, ancré dans les petits trésors populaires des artistes déracinées.

Un spectacle qui fait revivre l’âge d’or des cabarets orientaux des années 1940 et 1950 à travers des chansons d’artistes originaires d’Algérie et du Moyen-Orient.

La pièce de Guy Régis Jr se situe au cœur de l’exil, un chœur de naufragés qui chantent espoir et désespoir avant de se perdre dans les flots.

Il s’agit d’une traversée de l’histoire de la musique portugaise, depuis l’âge d’or de sa polyphonie, audacieuse ou séraphique, jusqu’à la figure majeure d’Emmanuel Nunes. Ses timbres moirés évoquent les peintures de Vieira da Silva, tandis que les voix a cappella empruntent au théosophe Jakob Boehme et entonnent un dense chant d’amour.

« Quand meurent les hommes, ils chantent. » Ce vers de Khlebnikov donne son titre à l’une des œuvres majeures, bouleversantes, de la dernière période de Luigi Nono. Un même souffle de vie traverse les pièces pour flûte de Salvatore Sciarrino et les madrigaux que Luzzasco Luzzaschi composa jadis pour le Concerto delle donne, à la cour du duc d’Este.

Didier Lacoste avec son groupe en concert à Paris.

L’Afrique racontée aux familles par Soro Solo et la nièce Hortense. Dès 6 ans.

Le traditionnel Noël Mandingue est de retour au Théâtre Public de Montreuil, l’occasion pour Africolor de s’entourer des grands artistes de la scène malienne actuelle. Entre fusion world-pop, mélodies puissantes des griots et arrangements tradi-modernes survoltés, la relève de la musique mandingue n’a pas fini de nous faire vibrer. Un 24 décembre au rythme des musiques africaines, en présence de la grande griotte malienne et marraine de la soirée, Naïny Diabaté.

Un père et sa fille. Un poète, chanteur, joueur de luth oriental et une comédienne professionnelle. Deux générations qui se rapprochent. C’est un cabaret khâmmarât.

Le tourbillon des sens et un voyage à travers le monde grâce au violon de Nemanja Radulović. Musiques traditionnelles et populaires (Russie, Serbie, Inde, Argentine, Espagne, Cuba, Brésil, Irlande…)

Un peu de douceur dans un monde de bruit... L’épatant chanteur-guitariste créole David Walters a réuni les maîtres Vincent Ségal au violoncelle, Ballaké Sissoko à la kora et Roger Raspail aux percussions pour une aventure acoustique tout en douceur.

Porté par un vent d’est, Luludji met à l’honneur ses inspirations tsiganes.

Thomas de Pourquery et ses acolytes de Supersonic n’ont de cesse de faire exploser les frontières entre jazz, rock progressif et musiques du monde. Ils reviennent avec Back to The Moon, un space-opéra aux accents psychédéliques.

Transposant le recueil poétique éponyme d’Erri de Luca autour de la tragédie des migrants, Thomas Bellorini signe Solo Andata, un vibrant spectacle de théâtre musical au confluent de plusieurs cultures.

Le marocain Majid Bekkas est un des représentants les plus éblouissants de la musique gnaoua. Après une première partie en présence de la Chaouki Gnaoua Family, trois musiciens d’exception sont invités pour une seconde partie, « fusion » : Hamid Drake, Émile Parisien, et Aly Keïta.