
Présentation
Richard Zachary persiste et signe …
Rencontre avec Richard Zachary
La
presse lors des précédentes créations du Théâtre Fantastique
Spectacle tout public dès 6 ans. Un spectacle totalement visuel et musical qui touche les cœurs et chatouille l’imagination : c’est inventif, éblouissant de virtuosité. Projeté dans un monde étrange peuplé de créatures fantastiques, Max perd la tête ! Comédien américain formé auprès d'Etienne Decroux, de Jacques Lecoq et de Marcel Marceau, Richard Zachary est le démiurge de ce voyage qui allie les nouvelles technologies au théâtre noir, au mime, à la danse et aux formes animées.
Projeté dans un monde étrange peuplé de créatures fantastiques, Max perd la tête ! Un spectacle totalement visuel et musical qui touche les cœurs et chatouille l’imagination : c’est inventif, éblouissant de virtuosité.
Comédien américain formé auprès d'Etienne Decroux, de Jacques Lecoq et de Marcel Marceau, Richard Zachary est le démiurge de ce voyage qui allie les nouvelles technologies au théâtre noir, au mime, à la danse et aux formes animées.
Boston, 1976. Diplômé de l'Université de Harvard, Richard Zachary voit un spectacle du mime Marcel Marceau. Pour lui, c’est un choc : il abandonne aussitôt ses études de droit international et part à New York suivre une formation d'acteur ainsi que des stages de mime.
Paris, 1977. Il quitte les Etats-Unis pour étudier auprès d’Etienne Decroux, Jacques Lecoq et Marcel Marceau. Deux ans plus tard, il crée à Paris un one-man show qu'il tourne dans toute l'Europe. Il travaille comme mime à l'Opéra de Berlin, joue dans des films pour la télévision, anime des cours et des stages sur les masques, le mime et l'expression corporelle.
1983. Il fonde la Compagnie du Théâtre Fantastique. Comédien et metteur en scène, il travaille lui-même à la conception des costumes et des effets spéciaux pour ses spectacles. Richard Zachary crée son premier spectacle “Théâtre Fantastique”, une forme de music-hall burlesque et futuriste. Côté public comme côté presse, c’est le succès.
Le spectacle, joué 500 fois dans une quarantaine de pays, reçoit de nombreux prix : « Coup de Cœur » du Printemps de Bourges, « Coup de Cœur » du Festival Off d’Avignon, « Etoile de la Semaine » à Munich, « Prix du meilleur spectacle étranger » au Mexique.
Le Théâtre Fantastique participe à des programmes pour la télévision en Allemagne et en Hollande. Depuis 1983, ses spectacles tournent dans le monde entier.
1991. Création de Matrix, une histoire imaginaire de la création du monde et de l’évolution, avec des comédiens de formations artistiques diverses : mime, théâtre, danse ou cirque. Matrix a été représenté dans 10 pays (dont trois tournées en Asie), touchant un public d’âges et de cultures très variés.
1995. Création de Cybersuite, une histoire d’amour entre un fou d’informatique et une femme virtuelle. Cybersuite explore l’interaction entre l’acteur sur scène et l’univers de la réalité virtuelle.
1998. Commande de la Cité des Sciences de la Villette : Les Clowns Cosmiques, rencontre entre un savant qui tente de faire parler des hamburgers et deux Arlequins du XXIème siècle habillés de costumes électroniques. Ce spectacle a remporté la médaille d’or du FAUST (Forum des Arts de l’Univers Scientifique et Technologique) à Bordeaux.
Novembre 2000 : création de « Voyageur sans tête », spectacle visuel et musical, à La Pépinière-Opéra à Paris.
« L’art du mime contient ce sens du merveilleux que l’on trouve dans la magie, dans le cirque, dans toute œuvre qui participe au mystère de la grâce » Marcel Marceau
Un théâtre visuel et musical
Dans tous mes spectacles, j'utilise divers moyens d’expression : le mime, la danse, les marionnettes, le théâtre noir, les masques, les objets animés et des technologies nouvelles.
J’aime détourner les objets de leur utilisation traditionnelle. Une simple feuille de papier, quand elle a la taille d’une porte et qu’on la manipule dans la lumière noire, devient vivante et expressive : elle peut sauter de joie ou au contraire se rétracter et se froisser dans la douleur... Je fais des ballets de lumière avec, par exemple, des balles de ping-pong illuminées par des fibres optiques. Pour les costumes, je privilégie les matières telles que plastique, papier, latex, mousse, ampoules lumineuses, fibre optique...
Mon travail est principalement visuel et sonore. La musique conditionne l’atmosphère, le jeu de l’acteur et le rythme de mes spectacles. J’utilise tous les genres de musique : du blues pour accompagner des personnages électroluminescents, de la musique baroque pour un ballet de fibres optiques, du tango pour faire danser des amibes en Lycra de six mètres de circonférence, des percussions indonésiennes pour accompagner la multiplication de molécules en polystyrène.
Théâtre et nouvelles technologies
Tout en affirmant la primauté du jeu corporel de l'acteur, je suis fasciné par les possibilités narratives et ludiques de la réalité virtuelle, des images de synthèse, du laser, de la fibre optique, de la projection vidéo sur grand écran ou du
MIDI, le langage informatique de la musique...
Les nouvelles technologies permettent de revisiter la mythologie. Le héros de « Voyageur sans tête » vit dans le troisième millénaire où notre perception du monde est conditionnée par les images télévisuelles et l’informatique.
Masques et métamorphoses
Comme Ulysse dans l'Odyssée, Max part pour un long voyage. Son errance est une quête d’identité. Il rencontre des femmes, des sirènes et des démons, mais ces créatures fantastiques surgissent de son inconscient.
Les pouvoirs de métamorphose du masque lui permettent de se dédoubler, de se démultiplier.
Le masque vidéo (masque composé d'un écran à cristaux liquides) permet de dépasser les limites du masque traditionnel. L'acteur peut changer non seulement d'expression, mais aussi de personnage.
Le masque vidéo exprime le mouvement des pensées, des émotions et des souvenirs. Si je superpose l'image de mon propre visage sur mon visage grâce au masque vidéo, j'obtiens un décalage qui permet de représenter mon inconscient, mes rêves.…
« Vos mensonges nous émerveillent davantage que notre pauvre vérité. Hommes aux mille mains, je forme des vœux pour que votre art se lègue parce qu’il s’adresse à ce que le monde conserve en lui de meilleur : l’enfance… » Cocteau
« Une suite d'images époustouflantes, un voyage théâtral dansant et inventif… Une musique surprenante, une imagination où l'invention le discute à la fantaisie font de ce voyage entre théâtre visuel et théâtre virtuel un petit bijou à voir absolument. » L’Humanité
« Maintenant on sait de quelle étoffe sont faits les rêves. » Rheinische Post, Allemagne
« 10 000 trouvailles à la seconde, un univers imaginaire où l'imagination est reine... » Journal du Centre
« Magique, merveilleux, surréaliste...un poème dans lequel la vie se crée et se développe d'une façon nouvelle... Pas de dialogues, seulement une musique en parfaite harmonie avec le visuel. » République du Centre
« Certains spectateurs réticents au début sont repartis émerveillés, tout comme les enfants d’ailleurs, heureux d’avoir vu ce beau théâtre d’images. La troupe du Théâtre Fantastique nous a offert un spectacle de grande qualité et surtout plein d’originalité! » Le Dauphiné Libéré
« Surgissent là des créatures fantastiques créant une atmosphère absolument magique autant que romantique saupoudrée de drôlerie. Les costumes étonnants se dessinent en milliers de lumières, allumant des étoiles dans les yeux du public. Dans cet espace réel-virtuel, on retrouve la trace de la tradition du théâtre noir où s’illustrèrent quelques grands magiciens sur les scènes des music-halls. » Le Berry, Printemps de Bourges
« Toute cette fantasmagorie procède d’un art totalement neuf, original. C’est beau, fascinant, déconcertant de virtuosité et en même temps cela semble si simple qu’on a l’impression en le quittant, d’avoir rêvé. » La Voix Du Nord
« Les spécialités les plus remarquables de la troupe sont les ballets de lumières aux multiples facettes. » Bergische Morgenpost, Allemagne
« Un travail quasiment inclassable tant il emprunte à la fois au cirque, au mime, à la musique, à l’ordinateur, au dessin, au collage, au gribouillage, qui lentement fait plonger le témoin dans un autre univers. » La Marseillaise
Jardin d’acclimatation 75016 Paris
Le théâtre est accessible après entrée au jardin : 2,70€ pour les adultes.
Par le Petit Train : au départ de la Porte Maillot, le Petit Train vous conduit à travers bois jusqu'à l'entrée principale du Jardin d'Acclimatation.
Parking : Place du Marché à Neuilly sur Seine