
L'Homme, Marco l'a beaucoup étudié... jusqu'à en devenir son " meilleur ami " .
Dans son spectacle, il décortique l'humanité sous toutes ses formes avec un humour tantôt grinçant, tantôt sensible. Il incarne une galerie de personnages variés, décalés, tendres mais surtout tellement... humains ! Vifs, rapides et acérés, ses portraits originaux dépeignent les bons et les mauvais côtés de l'être humain.
Il a été plébiscité dans nombre de festival d'humour, notamment comme 1er prix des Estivales de Dinart et comme invité du Festival Juste pour Rire de Nantes.
« Son spectacle brosse des portraits d'humanoïdes modernes gratinés et drolatiques à souhait. Son secret : une pointe d’humour noir grinçant et provocateur, digne des films dialogués par Michel Audiard. » Pariscope
« Marco excelle dans des sketches acerbes. » Ouest France
« A quoi reconnaît-on un moment de café-théâtre réussi ? A cette sensation si particulière d’être présent au bon endroit au bon moment. Avec un beat à réactiver le Vésuve, Marco est un être trompeur. Sous sa bonhomie apparente, la lave qui irrigue son corps cache des poisons verbeux, des sacs à malice linguistiques et des morts aux petits rats de l’OPA du tiédasse ambulant. Il brûle les planches pour mieux consumer nos états d’âme. A l’allure d’un TGV en rut, il monte ses portraits en flèche, pour mieux descendre ses contemporains en flammes. » Charly Cordenod, Le Progrès, 2 octobre 2004
« Sous ses airs bonhommes, le bouillonnant garçon est prêt à cracher sa lave sur le monde qui l’entoure. (...) Ses personnages sont attachants, décalés et souvent imprégnés d’un vécu que l’on imagine jamais triste. (…) Il aboie, mord et donne la patate. » Le Figaro Magazine, A. Bréard
« Marco aime intensément la magie des planches, c’est incontestable. Des personnages, il en possède toute une galerie, des tranches de vie qu’il décline sur un ton grinçant dans la lignée de son maître Albert Dupontel. Si Marco a choisi le café théâtre, c’est qu’il avait des choses à dire. Seul sur scène, il cisèle ses textes à l’humour noir corrosif à l’aide d’une dizaine de co-auteurs d’horizons divers. » 19 juillet 2004, Presse océan, M.-V. Chaudon
« Marco excelle dans des sketches brefs et acerbes. » 17 et 18 juillet 2004, Ouest France
« Bien campé sur ses jambes, Marco est inébranlable pour mettre le doigt sans complaisance, mais avec humour, sur les choses de la vie, et les petites tares de notre société.(…) Ses sketches sont bâtis comme des courts-métrages, avec un bon rythme, pas plus de cinq minutes par séquence. Le sport, les femmes, les rapports parents-enfants, la société est croquée avec une réalité déconcertante. » 7 avril 2004, Les nouvelles de Versailles, Emmanuel Fèvre
« Il interprète, pendant plus d’une heure, une galerie de personnages hauts en couleurs qui se succèdent à un rythme effréné. Depuis un an, Marco enchaîne les représentations et reçoit un très bon accueil du public de Paris à Lyon en passant par Strasbourg et Genève. » 24 mars 2004, Toutes les nouvelles des Yvelines
« Marco a bien compris que pour être le meilleur ami de l’homme, il faut être aussi son plus sévère critique sinon c’est pas drôle… et ça marche. » 29 mai 2003, RTL
« Sous sa bonhomie charismatique et son regard lumineux, Marco dégage d’emblée un professionnalisme étonnant pour capter le public. Vifs et rapides (im)pertinents et acérés, ses portraits originaux et taillés sans scrupule décoiffent avec une truculente acidité. » 3 mai 2003, Le Progrès, Michel Clavel
« Charismatique avec son verbe fin et son aspect « nounours », Marco a le don de faire ressortir les bons et les mauvais côtés de l’être humain en des sketches aussi courts que rythmés. Sa galerie corrosive, toujours conçue en collaboration avec son proche entourage, est un outil pour traduire avec quelques mimiques à l’appui, son sens aigu de l’observation ! » 29 avril 2003, Le Progrès, Michel Clavel
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