
Quatuor burlesque de clowns fous
La presse
Les Grands Malades
Usant d'un langage universel, avant tout visuel et sonore, ce pestacle s'adresse à tous les publics sans distinction d'âge ni de nationalité.
Quatre individus hauts en couleurs, munis de bâtons et d'un minimum d'accessoires anodins, tels de grands enfants s'amusant d'un rien, évoluent dans un décor urbain et transcendent le quotidien en un univers ludique. Ils entraînent le spectateur dans leur monde burlesque au travers d'une quinzaine de tableaux délirants ou tendres, mais toujours drôles, tout en les invitant à participer activement à leurs jeux.
Les Grands Malades, après avoir développé et expérimenté avec succès le C.R.U.* dans le sud de la France pendant deux ans (« Le CRU vous gâte ! »), ont décidé en 2002 de l'adapter à la scène avec brio (quand il est disponible...).
* Le C.R.U. (Commando Rituel Urbain), destiné aux arts de la rue, a été créé à Perpignan en 2000 sous la direction de Jean-Marie Maddeddu.
Les Grands Malades, ce sont quatres artistes polyvalents aux tempéraments éclectiques, à savoir dans le désordre: comédiens, musiciens, auteurs, compositeurs, metteurs en scène, scénaristes, danseurs... (liste non exhaustive) qui ont associé leurs talents et leur créativité dans un but bien précis : " Ramener le rire à son rôle premier, c'est à dire curatif, tant au niveau des zygomatiques qu'à celui des neurones. "
Fortement imprégnés d'un humour allant de Jacques Tati aux Monty Python, ils se délectent de la verve d'un Pierre Desproges ou d'un Michel Audiard : " Les cons, ça ose tout... c'est même à ça qu'on les reconnaît. "
La preuve : ils ont uni leurs expériences respectives de duo, de one-man-show et de compagnies largement rodés afin de présenter un spectacle commun dans un registre complètement différent et fédérateur...
" Une heure et quart d'extravagance scénique, de non-conformisme artistique [...] Un spectacle purement et simplement adressé à votre imaginaire collectif [...] Le résultat est magique. A artistes déboussolés, spectateurs envoûtés. " Sandra Canal, La Semaine du Roussillon
" Une bande de gaillards de Perpignan en costume BTP orange vif et coiffés de casques de chantier, présente une performance "percussive, chorégraphique, sonore et vocale" qui a toutes les chances d'être reconnue. Etienne Sorin, Libération
En combinaison orange, armés de bouts de bois, parlant un langage fait d'onomatopées, jouant des percussions sur tout et n'importe quoi [...] du mime et de la pantomime, de la parodie, du gag visuel et sonore [...] chauffait la salle et provoquait les premiers rires de cette soirée dédiée à l'humour.
(Jean Michel Collet, L'Indépendant, lors de la 1ère partie de Gustave Parking)
" Invitation à l'absurde de notre paysage ordinaire. Une heure et quart de spectacle sans parole où le coeur d'expression est dans le geste et l'onomatopée. " Eric Biesse, Le Travailleur Catalan
Inspiré par les cartoons, Tex Avery, Tricicle, l'univers de Jacques Tati, des Monty Python et Mister Bean, le Pestacle se veut avant tout visuel et comique. Jean Michel Collet, L'Indépendant
" Ils sont polyvalents, comédiens, musiciens, auteurs, compositeurs, metteurs en scène, scénaristes, danseurs... Des individus hauts en couleurs, Gary, Patrice, Benoît, Matthieu [...] : ce sont Les Grands Malades et après la prestation de ce soir, on en redemande ! " Claude Fournier, directeur artistique des Coups d'Humour (émission du 15/11/02)
15, passage de la Main d'Or 75011 Paris