Le monsieur chauve qu’on prenait pour un œuf

A partir de 6 ans. Il s’agit de trois rêves : l’histoire du monsieur chauve qu’une énorme poule aimante prend obstinément pour un œuf, ainsi que deux autres histoires cocasses ou ironiques sur les petites injustices, les douces perfidies et menues violences de nos relations quotidiennes. Ni franchement méchantes, ni vraiment brutales ou perverses, ce sont des petites violences feutrées, sans éclat ni réelle malignité. Elles ne sont pas toujours identifiables et n’ont souvent d’existence que dans l’esprit de ceux qui les ressentent. Ce sont nos petites violences à tous, aussi aimables et doux que nous soyons, que nous exerçons et subissons à tour de rôle, et dont nous nous repassons allègrement le mistigri.

Trois situations poétiques sur le thème des petites injustices ordinaires.