La tenue est impeccable. Le port se veut altier, l’expression poussée jusqu’au solennel ! Passe-muraille, Omri ?
Au premier jaillissement de lumière, au premier son articulé, la silhouette se métamorphose : les mots se font tranchants, le ton persifleur, la comédie humaine et sa cohorte d’inanités résolument épinglées.
Farid Omri embrase le public, tour à tour le malmène ou… le cajole, car au-delà des flèches décochées, des parodies chantées et d’un sens consommé de l’auto-dérision, l’humoriste et l’homme n’ont qu’un seul désir : partager.
Ce one man show campe clairement les intentions : à la haine des jours ordinaires l’homme et l’artiste préfèrent la rencontre et le don. Dès lors, faut-il s’étonner que de Rennes à Marseille, d’Avignon à Saint-Etienne, le public, chaque fois, se laisse conquérir par un authentique talent.
Aujourd'hui, Farid Omri est enfin à Paris !!!
Omeri politiquement incorrect grinçant et drôle. Son humour corrosif, égratignant sans équivoque une inquiétante réalité sociale , n’épargne rien ni personne. nov. 96, Ouest France
Humour noir à savourer sans modération. - janv. 97, Les Dernières Nouvelles d'Alsace
Plus de 500 personnes l’ont applaudi au théâtre Copeau. À peine une semaine plus tard c’est au Dragon Bleu qu’Omeri fait le plein. - fév.96, Le Progrès
Il est beur. Et ça lui va bien. Il est féroce. Ça lui va encore mieux.- juil.96, Le Provençal
26, rue Fontaine 75009 Paris