Explorant une langue qui prend sa source dans le béton et les barres d’immeuble, Les Enchantements raconte l’histoire d’une jeunesse qui se réinvente face à l’adversité. Elle parle de rires, d’embrouilles, mais surtout de débrouillardise, de solidarité et de la force surpuissante du collectif. A partir de 13 ans.

Depuis les années 1950, les Algériens sont parqués dans des bidonvilles dans les banlieues proches de Paris. Une situation d’apartheid dans un contexte de guerre d’indépendance en Algérie. Le 17 octobre 1961, trente mille Algériens manifestent pacifiquement mais sont violemment réprimés. Le lendemain, le ministre de l’Intérieur affirme : « Il ne s’est rien passé. » A partir de 13 ans. 

Explorant une langue qui prend sa source dans le béton et les barres d’immeuble, Les Enchantements raconte l’histoire d’une jeunesse qui se réinvente face à l’adversité. Elle parle de rires, d’embrouilles, mais surtout de débrouillardise, de solidarité et de la force surpuissante du collectif. A partir de 13 ans.

Qui sont ces jeunes qui, en toute verve et crudité, nous font part de leurs vies bouleversées ? Christine Citti, l’auteure, joue son propre rôle d’intervenante extérieure. Le texte qu’elle a conçu, à l’issue de son expérience dans un foyer de La Courneuve, restitue une langue et une réalité sociale. Une mise en scène de Jean-Louis Martinelli.

Hamlet, Othello, Macbeth, Lear et d’autres figures shakespeariennes, entourées d’êtres d’aujourd’hui circulent ici comme en un rêve de metteur en scène. C’est en travaillant avec quinze jeunes artistes africain.ne.s et européen.ne.s que Dieudonné Niangouna a conçu cette confrontation, à la fois cérémonie vaudoue et épiphanie théâtrale.

Hamlet, Othello, Macbeth, Lear et d’autres figures shakespeariennes, entourées d’êtres d’aujourd’hui circulent ici comme en un rêve de metteur en scène. C’est en travaillant avec quinze jeunes artistes africain.ne.s et européen.ne.s que Dieudonné Niangouna a conçu cette confrontation, à la fois cérémonie vaudoue et épiphanie théâtrale.

Qui sont ces jeunes qui, en toute verve et crudité, nous font part de leurs vies bouleversées ? Christine Citti, l’auteure, joue son propre rôle d’intervenante extérieure. Le texte qu’elle a conçu, à l’issue de son expérience dans un foyer de La Courneuve, restitue une langue et une réalité sociale. Une mise en scène de Jean-Louis Martinelli.

Un jeune homme, Bernard, dont on ignore tout, est abattu par les forces de l'ordre lors d'une intervention au sein même de son domicile... et sous les yeux impuissants de ses parents.