Gordon Gary, un chanteur-guitariste qui joue une folk contemporaine inspirée par Thomas Dybdhal, Nick Drake ou Sufjan Stevens.

Par une fin d’après-midi d’hiver, à la sortie d’une ville, un narrateur s’arrête au bord de la route, sous la neige. Pris d’un basculement, il s’engage dans un voyage immobile où intérieur et extérieur sont étroitement mêlés. Au cours d’une expérience en trois temps – naissance, approfondissement et amplitude, puis transformation ou dissolution, le narrateur va faire l’expérience de la contemplation, d’une solitude originelle et fondatrice.

On peut s'approcher de Charlotte etc., mais tout doucement, avec précaution, comme le renard du Petit Prince, et quand enfin on se laisse bercer par les douces mélodies, qu'on baisse un peu sa garde, on peut se faire blesser par des paroles terriblement noires qui font vaciller un énoncé trop rapide de chanson française légère. Avec Yann Féry à la guitare électrique, Charlotte etc. vous dévoile, avec une rare délicatesse, un univers singulier qui envoûte aussi sûrement qu'il séduit.

On peut s'approcher de Charlotte etc., mais tout doucement, avec précaution, comme le renard du Petit Prince, et quand enfin on se laisse bercer par les douces mélodies, qu'on baisse un peu sa garde, on peut se faire blesser par des paroles terriblement noires qui font vaciller un énoncé trop rapide de chanson française légère. Avec Yann Féry à la guitare électrique, Charlotte etc. vous dévoile, avec une rare délicatesse, un univers singulier qui envoûte aussi sûrement qu'il séduit.

On peut s'approcher de Charlotte etc., mais tout doucement, avec précaution, comme le renard du Petit Prince, et quand enfin on se laisse bercer par les douces mélodies, qu'on baisse un peu sa garde, on peut se faire blesser par des paroles terriblement noires qui font vaciller un énoncé trop rapide de chanson française légère. Avec Yann Féry à la guitare électrique, Charlotte etc. vous dévoile, avec une rare délicatesse, un univers singulier qui envoûte aussi sûrement qu'il séduit.

On peut s'approcher de Charlotte etc., mais tout doucement, avec précaution, comme le renard du Petit Prince, et quand enfin on se laisse bercer par les douces mélodies, qu'on baisse un peu sa garde, on peut se faire blesser par des paroles terriblement noires qui font vaciller un énoncé trop rapide de chanson française légère. Avec Yann Féry à la guitare électrique, Charlotte etc. vous dévoile, avec une rare délicatesse, un univers singulier qui envoûte aussi sûrement qu'il séduit.