Une patinoire ? Oui, une patinoire sur la scène du Théâtre des Sources ! Ce n’est pas banal… Et des danseurs en patins ou baskets qui font du hip hop sur glace, c’est carrément givré et culotté ! Ça crisse, craque, bruisse, martèle. C’est entraînant à souhait, joyeux, poétique, ludique, ...rafraîchissant.

Aucune passerelle apparente ne relie l’usine à la scène. Sébastien Lefrançois a décidé d’y remédier. Cette création égrène des fragments du réel, injectés de hip hop, de cirque, de danse contemporaine et de burlesque. On y retrouve l’infinie poésie de Charlot, tendre Pierrot capable d’exorciser les univers les plus impitoyables pour mieux en dénoncer l’outrance. Dès 7 ans.

Pour cette création, le chorégraphe Sébastien Lefrançois a travaillé avec des personnes de différents âges, sexes, horizons, sur le rapport intime et social à la peau.

Pour cette création, le chorégraphe Sébastien Lefrançois a travaillé avec des personnes de différents âges, sexes, horizons, sur le rapport intime et social à la peau.

Pour fêter ses vingt ans, Suresnes cités danse a choisi de réunir dans une même soirée, un nombre important de danseurs et chorégraphes qui ont marqué le festival et le hip hop en presqu’une génération. Ces soirées d'ouverture mélangent danseurs reconnus et talents émergents.

De l’air, du désir, de l’imprévu ! Pour 2011, Cités danse connexions (Cdc), pôle de production et de diffusion hip hop créé en 2007, situé dans le théâtre, lâche la bride. Trois ans après son ouverture, ce lieu offensif, rampe de lancement pour les jeunes danseurs et chorégraphes hip hop, confronte styles et genres en deux soirées et quatre spectacles.

Réécrivant dans une esthétique contemporaine cette histoire de clans, Sébastien Lefrançois a imaginé un dispositif scénique inédit, dans lequel deux interprètes “traduisent” en mots les mouvements des danseurs. Façon astucieuse de faire pénétrer les spectateurs au cœur du code gestuel hip hop.

Suite à la présentation d'un spectacle à l'Institut français de Rabat (Maroc) il y a un an, Sébastien Lefrançois tombe sous le choc de la vitalité du milieu hip hop marocain. Il découvre aussi l’école de cirque de Shemsy, installée à Salé en banlieue de Rabat, qui accueille des enfants en situation précaire pour leur apprendre les métiers de la piste. L’idée d’un spectacle voit le jour, au croisement du hip hop et du cirque, de la France et du Maroc.

Lors d’un séjour de repérage à l’Institut Français deRabat, le chorégraphe français Sébastien Lefrançois tombe sous le choc de la vitalité du milieu hip-hop marocain. Il découvre aussi l’Ecole de Cirque Shemsy, installée à Salé, en banlieue de Rabat, qui accueille des enfants en situation précaire pour leur apprendre les métiers de la piste. L’idée d’un spectacle voit le jour, au croisement du hip-hop et du cirque, de la France et du Maroc.

Lors d’un séjour de repérage à l’Institut Français deRabat, le chorégraphe français Sébastien Lefrançois tombe sous le choc de la vitalité du milieu hip-hop marocain. Il découvre aussi l’Ecole de Cirque Shemsy, installée à Salé, en banlieue de Rabat, qui accueille des enfants en situation précaire pour leur apprendre les métiers de la piste. L’idée d’un spectacle voit le jour, au croisement du hip-hop et du cirque, de la France et du Maroc.