Son Amérique était celle des excès, celle du libre arbitre. Sa littérature, celle des expériences. Ce spectacle mêlant poésie et slam, nous entraîne dans le monde artistique, marginal et anti-conformiste, de William Burroughs.

"Certains ne deviennent jamais fous… leurs vies doivent être bien ennuyeuses." Charles Bukowski. Le beat up club, c’est la grande évasion ; une fuite vers soi sans barrière, sans limite, partir à la dérive, et tout au long du chemin, se découvrir à la fois plus fort et plus faible qu’on ne le croyait.

L’histoire d’un infanticide, d’un fratricide, d’un sixième doigt, d’un serial killer, d’un cannibale, d’un accélérateur de particules, et de tant d’autres. C’est un peu de tout cela, mais en gore. Une comédie sexy-trash et putassière à l’image du monde.

L’histoire enfantine et irréelle, revendique l’héritage des contes fantastiques : parler directement au cœur, faire rêver et éveiller. Pièce fantastique à partir de 4 ans. Prix de la Fondation Beaumarchais 2006.

Raconter l’histoire d’une communauté, raconter les hommes entre eux, leurs petites vilenies et leur grande beauté, cette incroyable capacité de l’esprit à repousser les limites du savoir le plus précieux, comme celle de la bêtise la plus affligeante. Donner envie de rire, de se prendre dans les bras ou de se mettre sur la gueule. Après tout, vivre en communauté…