Et si les recoins d’un monde en ruine, devenaient le décor d’une renaissance ? Puisant à la source de la créativité, les artistes acrobates et danseurs de la compagnie Circus Baobab emmènent le spectateur, au fil de l’eau, et l’interrogent sur l’urgence climatique, la perte de repères, la remise en question de la réalité.

Et si les recoins d’un monde en ruine, devenaient le décor d’une renaissance ? Puisant à la source de la créativité, les artistes acrobates et danseurs de la compagnie Circus Baobab emmènent le spectateur, au fil de l’eau, et l’interrogent sur l’urgence climatique, la perte de repères, la remise en question de la réalité.

Et si les recoins d’un monde en ruine, devenaient le décor d’une renaissance ? Puisant à la source de la créativité, les artistes acrobates et danseurs de la compagnie Circus Baobab emmènent le spectateur, au fil de l’eau, et l’interrogent sur l’urgence climatique, la perte de repères, la remise en question de la réalité.

Et si les recoins d’un monde en ruine, devenaient le décor d’une renaissance ? Puisant à la source de la créativité, les artistes acrobates et danseurs de la compagnie Circus Baobab emmènent le spectateur, au fil de l’eau, et l’interrogent sur l’urgence climatique, la perte de repères, la remise en question de la réalité.

Et si les recoins d’un monde en ruine, devenaient le décor d’une renaissance ? Puisant à la source de la créativité, les artistes acrobates et danseurs de la compagnie Circus Baobab emmènent le spectateur, au fil de l’eau, et l’interrogent sur l’urgence climatique, la perte de repères, la remise en question de la réalité.

Marquée par le fait que notre société moderne semble avoir oublié les rituels de partage des émotions ou qu’elle juge celles-ci comme des faiblesses, Sanja Kosonen souhaite s’emparer de la thématique des pleurs. Elle explore la rivière profonde de l’être humain, son humanité, son absurdité et sa maladresse devant ses propres émotions dans une forme pluridisciplinaire mêlant la danse, le chant, les arts du cirque et les arts plastiques.

Marquée par le fait que notre société moderne semble avoir oublié les rituels de partage des émotions ou qu’elle juge celles-ci comme des faiblesses, Sanja Kosonen souhaite s’emparer de la thématique des pleurs. Elle explore la rivière profonde de l’être humain, son humanité, son absurdité et sa maladresse devant ses propres émotions dans une forme pluridisciplinaire mêlant la danse, le chant, les arts du cirque et les arts plastiques.

Deux acteurs, un musicien, une danseuse et un acrobate dressent le portrait de Nour, ainée d’une fratrie de neuf enfants. Un spectacle humaniste qui utilise les formes les plus avant-gardistes et réjouissantes du théâtre.

Deux acteurs, un musicien, une danseuse et un acrobate dressent le portrait de Nour, ainée d’une fratrie de neuf enfants. Un spectacle humaniste qui utilise les formes les plus avant-gardistes et réjouissantes du théâtre.

Lors d’un séjour de repérage à l’Institut Français deRabat, le chorégraphe français Sébastien Lefrançois tombe sous le choc de la vitalité du milieu hip-hop marocain. Il découvre aussi l’Ecole de Cirque Shemsy, installée à Salé, en banlieue de Rabat, qui accueille des enfants en situation précaire pour leur apprendre les métiers de la piste. L’idée d’un spectacle voit le jour, au croisement du hip-hop et du cirque, de la France et du Maroc.