Dans cette pièce le chorégraphe Max Diakok s'est librement inspiré de la Conférence des Oiseaux du poète persan Farid Al-Din Attar, qui interroge le monde et invite au voyage intérieur.

Dans cette pièce le chorégraphe Max Diakok s'est librement inspiré de la Conférence des Oiseaux du poète persan Farid Al-Din Attar, qui interroge le monde et invite au voyage intérieur.

Poulbwa est une peinture poétique de la société de consommation. Voguant entre humour décalé et gravité cette pièce chorégraphique met en perspective les rapports changeants qu'entretiennent entre eux les individus au gré de l'intrusion des objet de consommation dans leur espace personnel ou social. Dès lors, qui de l'individu et de l'objet mène la danse. Est-ce l'objet qui donne un statut à l'individu ?

Programme double pour des soirées métissées, partagées entre danse contemporaine et traditionnelle.

Deux conteurs Martiniquais orchestrent un dialogue entre musiques et chants classiques, musiques et chants traditionnels caribéens, danse, pour dire de grands hommes oubliés du siècle des Lumières. Une rencontre audacieuse et riche.

Cette soirée chorégraphique est une célébration autour du thème de la mémoire Antillaise. Il s'agit de présenter, loin des images folklorisantes, des démarches artistiques qui s'inscrivent dans notre mode actuel tout en puisant dans le réservoir culturel légué par les ancêtres.

 " Amour créole. Amour comme source d'énergie. La chorégraphie est conçu comme un passage qui ouvre sur le mouvement de l'univers sur l'infini. "