Matthieu Bony

Matthieu Bony

Matthieu Bony participe à la conception et à la réalisation de machines et d’éléments scéniques pour le Royal de Luxe dont il est également un interprète depuis 1992 : Chasseurs de girafes, Retour d'Afrique, Le Géant, La grande parade de la véritable histoire de France, Le Rhinocéros.

Il travaille également en tant que concepteur, scénographe ou interprète pour les compagnies Cirkatomik, Color y calor, Le Phun, Ets Katertone, Cie D.C.A. - Philippe Decouflé, Les Cyranoïaques…

  • Théâtre

2007 Elizaviéta Bam de Daniil Harms, m.e.s. Alexis Forestier

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De 1999 à hier - Matthieu Bony

Royal de Luxe - Rue de la chute

Pelouse de Reuilly, Paris

du 8 au 11 août 2012
1h30
JEUNE PUBLIC Coup de cœur Terminé
  • De : Jean-Luc Courcoult
  • Mise en scène : Jean-Luc Courcoult
  • Avec : Jean-Yves Aschard, Maxime Barnabé, Sandy Boizard, Cyrille Bosc, Matthieu Bony, Julie Caillebotte, Fabien Dumousseau, William Flaherty, François Genty, Jean-Baptiste Gillet, Sonia Erhard, Patrick Lefebvre, Bruno Marchand, Grégory Ondet, Susana Ribeiro, Anne-Marie Vennel
Affûtez vos éperons, ajustez vos holsters, préparez vos flèches et vos calumets : Royal de Luxe confronte ses colts aux canons des Invalides. Car revoici à Paris la plus facétieuse des compagnies de rue, réunissant des machines folles et des humains pas moins fous, conciliant l’énorme qui en met plein la vue et les petits détails qui font l’inoubliable. Dans le cadre de Paris quartier d'été.
Elizaviéta Bam

Théâtre de la Bastille, Paris

du 10 au 25 mars 2007
CLASSIQUE Terminé
  • De : Daniil Harms
  • Mise en scène : Alexis Forestier
  • Avec : Marc Bertin, Cécile Saint-Paul, Patrick Blauwart, Tomas Heuer, Matthieu Bony
De l'Obériou, peut-être le plus méconnu des mouvements littéraires nés en Russie, il nous est resté le théâtre incomparable de Daniil Harms, dont le projet est d'atteindre “une réalité autre” née spontanément dans l'espace du plateau. Une recherche familière au théâtre d'Alexis Forestier, dont le parcours de Dada à Gertrude Stein devait forcément rencontrer un jour l'écriture de Danill Harms.