Qui eut cru qu’au XVIII e siècle l’histoire du café et celle des mœurs allaient de pair ? Car le café ne fut pas toujours la boisson banalisée qu’elle est aujourd’hui. Avec Café Libertà, le chef d’orchestre Jérôme Correas et la chorégraphe Ambra Senatore s’emparent de cette histoire grâce aux cantates pleines d’humour et de fantaisie de Jean-Sébastien Bach et de Nicolas Bernier.

Qui eut cru qu’au XVIII e siècle l’histoire du café et celle des mœurs allaient de pair ? Car le café ne fut pas toujours la boisson banalisée qu’elle est aujourd’hui. Avec Café Libertà, le chef d’orchestre Jérôme Correas et la chorégraphe Ambra Senatore s’emparent de cette histoire grâce aux cantates pleines d’humour et de fantaisie de Jean-Sébastien Bach et de Nicolas Bernier.

Entre danse, théâtre et arts visuels, la chorégraphe italienne Ambra Senatore ne cesse de rendre floues les frontières entre fiction et réalité, alliant subtilité et facétie. Sur scène, les sept danseurs de Scena Madre* explorent le jeu des relations humaines à travers les codes rappelant le 7ème art.

Sous les stéréotypes et les postures, Ambra Senatore débusque, avec un sens aigu de la cocasserie et de l’absurde, contresens et non-dits.

Un groupe de danseurs livrés à la fantaisie du mouvement, où l’inattendu du geste vient fonder la dynamique collective d’un jeu de société.

Depuis une dizaine d’années, avec une belle constance et une fantaisie bienvenue, l’italienne Ambra Senatore fabrique une danse légère, burlesque, piquante. John, sa dernière création, creuse ce sillon, en posant les règles d’un jeu aux parfums d’enfance. Le temps de la danse (et celui de l’immobilité) est fondé sur un subtil mélange d’aléatoire et de partitions précises.

Partition visuelle d’une revigorante fraîcheur, Passo, d’Ambra Senatore fourmille d’une écriture qui semble se surprendre elle-même, et le spectateur avec.