Après son adaptation magistrale d'Onéguine, Jean Bellorini s'empare d'une pièce de l'auteur russe Nicolaï Erdman, interdite de son vivant. Une satire sociale irrésistiblement grinçante et absurde, effroyablement moderne, servie par une troupe épatante et une incroyable mise en scène. Résolument politique et engagée, c'est une pièce à voir absolument.

Jean Bellorini confie à Valère Novarina la réécriture du mythe d’Orphée. Le Jeu des ombres sera une plongée joyeuse dans une langue exubérante, en dialogue avec les grands thèmes musicaux de L’Orfeo de Claudio Monteverdi.

Ecrit en français avant d’être traduit en japonais, Les Evaporés fait le lien entre Japon et Occident, entre nos a priori et la réalité culturelle japonaise, entre fantasme et vérité sociologique. En plongeant dans la vie de ces hommes et de ces femmes touchés par cet étonnant phénomène de société, Delphine Hecquet pose la question universelle de l’identité.

Jean Bellorini adapte le roman monumental de Dostoïevski et sonde les tensions entre liberté et croyance, entre chemin personnel et inscription au monde. Une enquête policière et métaphysique, belle et saisissante.

Gavroche, Jean Valjean, Fantine, Causette... vivent dans les mots vibrants que scandent ces comédiens habités. Toute la force du verbe de Victor Hugo est là, incarnée dans un spectacle fleuve, véritable plaidoyer pour le progrès social et la fraternité humaine. Et si la poésie était salvatrice ?

Liliom, le bonimenteur de foire, le voyou à la gueule d’ange, tourne en rond jusqu’à ce qu’au clair de lune il rencontre une petite bonne. Alors l’amour laisse croire à un changement, à une possible liberté. Une superbe mise en scène de Jean Bellorini, qui transforme avec douceur et joie cette amère fable sociale en un très très grand moment de théâtre.

Liliom, le bonimenteur de foire, le voyou à la gueule d’ange, tourne en rond jusqu’à ce qu’au clair de lune il rencontre une petite bonne. Alors l’amour laisse croire à un changement, à une possible liberté. Une superbe mise en scène de Jean Bellorini, qui transforme avec douceur et joie cette amère fable sociale en un très très grand moment de théâtre.

Jean Bellorini monte un Brecht où grâce et violence se côtoient. Comédiens-chanteurs-musiciens-ouvriers de la scène nous invitent à un théâtre épique dans un esprit de fête et de fanfare. Après les remarquables Tempête sous un crâne et Paroles Gelées, Jean Bellorini s'attaque au portrait de la prostituée au grand coeur qui aimerait sortir les hommes de la misère.

Liliom, le bonimenteur de foire, le voyou à la gueule d’ange, tourne en rond jusqu’à ce qu’au clair de lune il rencontre une petite bonne. Alors l’amour laisse croire à un changement, à une possible liberté. Une superbe mise en scène de Jean Bellorini, qui transforme avec douceur et joie cette amère fable sociale en un très très grand moment de théâtre.

Gavroche, Jean Valjean, Fantine, Causette... vivent dans les mots vibrants que scandent ces comédiens habités. Toute la force du verbe de Victor Hugo est là, incarnée dans un spectacle fleuve, véritable plaidoyer pour le progrès social et la fraternité humaine. Et si la poésie était salvatrice ?