Née en 1987, Laurène Marx est une femme trans non binaire dont l’oeuvre tourne autour des thèmes du genre, de la normativité, du rapport à la réalité, de la neuro-atypie et de l’anticapitalisme. À l’âge de seize ans, elle quitte l’école pour écrire, tout en vivant de petits boulots pour ne pas s’éloigner de son unique but : améliorer son style et sa narration. À l’âge de vingt et un ans, elle découvre Paris, le cinéma et le théâtre et commence à réaliser ses propres films et à mettre en scène ses propres textes.
Son rapport à l’écriture et à la politique change définitivement après qu’elle a assisté à une performance d’Alok Vaid-Menon, une activiste trans non binaire : il lui apparaît désormais qu’écrire sans cause, sans combat est impossible. Elle se promet de ne plus jamais raconter d’histoires inoffensives, mais de s’efforcer de mettre les zones d’ombre en lumière.
Elle obtient en 2015 le Prix de la Nouvelle de La Sorbonne Nouvelle. En 2018, son texte Transe est lauréat de l’Aide nationale à la création de textes dramatiques – Artcena (catégorie dramaturgies plurielles). En 2019, elle écrit pour le Collectif Lyncéus Pour un temps sois peu. En 2020, ce texte reçoit l’Aide à la création Artcena (catégorie textes dramatiques). En 2021, il est publié aux éditions Théâtrales et est créé par Lena Paugam dans le cadre du Lyncéus Festival à Binic-Étables-sur-Mer. En 2022, il remporte le prix spécial du jury de la Librairie Théâtrale et est mis en scène par Fanny Sintès avec Laurène Marx au Théâtre de Belleville.
En 2022, son texte Borderline love est mis en espace par Fanny Sintès dans le cadre du festival ZOOM #7 à Théâtre Ouvert (Paris) et est publié aux éditions Théâtrales. La même année, Laurène Marx fonde avec Fanny Sintès la compagnie Je t’accapare. En partenariat avec l’association 3027, elle met en scène avec Fanny Sintès Rendre à la rue au festival ZOOM#8 du Théâtre Ouvert à Paris en Mai 2023.
Laurène Marx est représentée par Anaïs Chartreau de l’Agence Althéa.
Photo : © Pauline Le Goff
Théâtre Ouvert, Paris
Un écolier de 9 ans subit les insultes racistes de ses camarades. En réaction, il entre dans une colère jugée incontrôlable par l’école, qui décide d’appeler la police. À son arrivée, sa mère, Rita, découvre son fils plaqué au sol par un agent de police. À partir de cet acte de violence raciste, l’autrice et metteuse en scène Laurène Marx et Bwanga Pilipili, comédienne, autrice et metteuse en scène, choisissent de raconter l’histoire à travers le parcours de la mère, Rita, une femme d’affaires camerounaise devenue aide-ménagère.
Espace 1789, Saint-Ouen
Laurène Marx a un don pour la narration. Lorsqu’elle parle, tout le monde écoute. Seule en scène, l’autrice-interprète aborde les questions de genre à travers son propre parcours de femme trans non-binaire. Pour un temps sois peu dépasse pourtant le simple témoignage pour constituer un vrai « banger » scénique, porté par une lucidité et un humour aussi bien placés que dévastateurs. Un récit qui transforme.
Théâtre Ouvert, Paris
Jag et Johnny, c’est l’histoire de Jag et de son chien Johnny, racontée par Jag à Laurène et comment leur plaisir d’être ensemble leur permet d’échapper au classisme qui conditionne l’amour entre humain·es.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
Laurène Marx a un don pour la narration. Lorsqu’elle parle, tout le monde écoute. Seule en scène, l’autrice-interprète aborde les questions de genre à travers son propre parcours de femme trans non-binaire. Pour un temps sois peu dépasse pourtant le simple témoignage pour constituer un vrai « banger » scénique, porté par une lucidité et un humour aussi bien placés que dévastateurs. Un récit qui transforme.
Théâtre Ouvert, Paris
Jag et Johnny, c’est l’histoire de Jag et de son chien Johnny, racontée par Jag à Laurène et comment leur plaisir d’être ensemble leur permet d’échapper au classisme qui conditionne l’amour entre humain·es.
Théâtre Ouvert, Paris
Je vis dans une maison qui n’existe pas est un texte entre naïveté d’un conte enfantin et brutalité pragmatique d’une prose directe et crue. La pièce tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité et de problèmes de gestion de la colère. À partir de 13 ans.
Paris-Villette, Paris
Laurène Marx a un don pour la narration. Lorsqu’elle parle, tout le monde écoute. Seule en scène, l’autrice-interprète aborde les questions de genre à travers son propre parcours de femme trans non-binaire. Pour un temps sois peu dépasse pourtant le simple témoignage pour constituer un vrai « banger » scénique, porté par une lucidité et un humour aussi bien placés que dévastateurs. Un récit qui transforme.
Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, Vitry sur Seine
Laurène Marx a un don pour la narration. Lorsqu’elle parle, tout le monde écoute. Seule en scène, l’autrice-interprète aborde les questions de genre à travers son propre parcours de femme trans non-binaire. Pour un temps sois peu dépasse pourtant le simple témoignage pour constituer un vrai « banger » scénique, porté par une lucidité et un humour aussi bien placés que dévastateurs. Un récit qui transforme.
Théâtre Ouvert, Paris
Je vis dans une maison qui n’existe pas est un texte entre naïveté d’un conte enfantin et brutalité pragmatique d’une prose directe et crue. La pièce tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité et de problèmes de gestion de la colère. À partir de 13 ans.
Théâtre de Belleville, Paris
Laurène Marx a un don pour la narration. Lorsqu’elle parle, tout le monde écoute. Seule en scène, l’autrice-interprète aborde les questions de genre à travers son propre parcours de femme trans non-binaire. Pour un temps sois peu dépasse pourtant le simple témoignage pour constituer un vrai « banger » scénique, porté par une lucidité et un humour aussi bien placés que dévastateurs. Un récit qui transforme.