Jean-Luc André d'Asciano

Jean-Luc André d'Asciano

En 1998, Jean-Luc A. d’Asciano obtient un doctorat en littérature – avec les félicitations du jury à l’unanimité, sous la présidence de Julia Kristeva – qui s’articule autour de l'œuvre de Jean Genet. En 1999, il fonde les éditions L’Œil d’or. Parallèlement, il est rédacteur en chef adjoint pour la revue d’art contemporain Ligeia et publie de nombreux articles sur l’art, l’architecture, la littérature et la cuisine.

Il publie des nouvelles dans différentes revues, un essai (Petite mystique de Jean Genet, 2006) ; deux livres jeunesses (Manou Binocles, 2002 ; Cirques, 2007) et deux recueils de nouvelles (L’Esprit des ronces, 2004 ; Cigogne, 2015). Quatre de ses textes ont été adaptés pour la scène (Affamé, mise en lecture de Lyn Thibault, avec Lyn Thibault et Marie-Suzanne de Loye : festival Nuit Blanche Paris, 2016 ; L’Esprit des ronces, mise en scène de Thibault Amorfini, avec Erwan Daouphars : festival Nuit Blanche, Paris, 2014 ; Artifices, mise en scène de Thibault Amorfini, avec Marion Amiaud, Sarah Gautray, Laurent Brechet  :festival Les Impromptus, Paris, 2013 ; Cirques, mise en scène de Thibault Amorfini, avec (en alternance) Rebecca Aïchoubba, Marion Amiaud, Pascal Nawojski, Ludovic Lamaud, Jean-Luc A. d’Asciano : festival Les Chimères de Bernicourtmai 2008) ; La Maison des Métallos (Paris, avril 2009) ; Festival Nous n’irons pas à Avignon, Vitry-sur-Scène, juillet 2009.

Depuis 2015, il tient la librairie de la maison de la Poésie (Paris) et y programme et anime le cycle « L’Édition alternative », au rythme d’une date par mois.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Jean-Luc André d'Asciano

A vue

Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris

du 12 au 23 févr. 2019
1h15
MUSIQUE & DANSE Danse contemporaine Terminé
  • De : Jean-Luc André d'Asciano
  • Mise en scène : Roser Montlló Guberna, Brigitte Seth
  • Avec : Sylvain Dufour, Roser Montlló Guberna, Brigitte Seth
L’univers scénique de Brigitte Seth et Roser Montlló Guberna allie audace, humour et gai désespoir. Elles posent cette fois la question du genre, mais aussi plus largement celle de l’identité, ou plutôt des identités multiples qui composent chaque individu.