Hugo Oriol

Hugo Oriol

  • Comédien

En 2008 il joue dans Push up de Roland Schimmelpfennig, m.e.s Louise Pierga et Tatiana Djordjevic.

En 2010, il joue dans Feu la mère de Madame de Feydeau, m.e.s par la Compagnie Pierre et Georges.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Hugo Oriol

Les chiens mordent pour se défendre

Proscenium, Paris

du 13 avr. au 1 mai 2011
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Alexandra Desbiolles
  • Mise en scène : Alexandra Desbiolles
  • Avec : Hugo Oriol, Marine Lecoq, Bénédicte Ryckmans, Gabriel Bouillard
Dans la " zone d'attente " de Roissy, les jours se suivent et se ressemblent, et l'espoir disparaît. Telle est la vie de Fatjona et de sa soeur Drita, aveugle et malentendante, depuis l'explosion d'une bombe dans leur Albanie natale. Jusqu'à l'arrivée d'un nouveau venu qui va bouleverser le coeur de Fatjona...
L'écume des jours

Deux Rêves, Paris

du 22 mars au 12 avr. 2011
1h30
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Boris Vian
  • Avec : Jean-Damien Detouillon, Nawel Dombrowsky, Juliette Hebbinckuys, Vincent Leprette, Adrien Neves, Hugo Oriol
Un conte a la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant où deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des Noirs américains...
Push up

Guichet Montparnasse, Paris

du 1 sept. au 30 oct. 2010
1h15
COMÉDIE & BOULEVARD Terminé
  • De : Roland Schimmelpfennig
  • Mise en scène : Louise Pierga, Tatiana Djordjevic
  • Avec : Clémence Mauron, Louise Pierga, Antoine Hirel, Tatiana Djordjevic, Hugo Oriol, Morgan Fortin, Lucie Marangoni, Olivier Pruniaux
Dans Push up, on est prêt à tout pour grimper au 16ème étage, « étage de la direction ». Trois entretiens sulfureux illustrent cette soif de pouvoir et montrent sans détour les rouages machiavéliques de cette entreprise où les personnages sont en proie à une trop grande ambition. Qui se fera manger le premier dans une entreprise où tout est gouverné par l’apparence et le désir de puissance ?
Feu la mère de Madame

Deux Rêves, Paris

du 23 au 31 mars 2010
45 min
CLASSIQUE Terminé
  • De : Georges Feydeau
  • Avec : Lucie Marangoni, Morgan Fortin, Hugo Oriol, Tatiana Djordjevic
Lucien rentre d’une soirée arrosée et réveille sa femme Yvonne, provoquant une scène de ménage sans fin interrompue par l’arrivée de Joseph, le nouveau valet de chambre de la mère de Madame, annonçant une nouvelle terrible…
Cherche agent désespérément

Quarts d'Heures, Paris

du 9 au 11 avr. 2009
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Julie Lavergne
  • Mise en scène : Julie Lavergne
  • Avec : Cécile Bressollette, Alex Fondja, Hugo Oriol, Anaïs Simon, Nicolas Siouffi
Cinq comédiens se débattant dans l'univers de la colocation et du monde du spectacle. Entre règlements de comptes et confidences, entre audition ratée et distributions promises, dans une parole quotidienne et concrète, d'apartés chantés, parsemés de tirades classiques du répertoire français, comment chacun trouvera-t-il sa place et par quels moyens ?
Push up

Deux Rêves, Paris

du 2 au 23 nov. 2008
1h15
COMÉDIE & BOULEVARD Terminé
  • De : Roland Schimmelpfennig
  • Mise en scène : Louise Pierga, Tatiana Djordjevic
  • Avec : Clémence Mauron, Louise Pierga, Antoine Hirel, Tatiana Djordjevic, Hugo Oriol, Morgan Fortin, Lucie Marangoni, Olivier Pruniaux
Dans Push up, on est prêt à tout pour grimper au 16ème étage, « étage de la direction ». Trois entretiens sulfureux illustrent cette soif de pouvoir et montrent sans détour les rouages machiavéliques de cette entreprise où les personnages sont en proie à une trop grande ambition. Qui se fera manger le premier dans une entreprise où tout est gouverné par l’apparence et le désir de puissance ?
Push up

Deux Rêves, Paris

du 21 juil. au 24 sept. 2008
1h15
COMÉDIE & BOULEVARD Terminé
  • De : Roland Schimmelpfennig
  • Mise en scène : Louise Pierga, Tatiana Djordjevic
  • Avec : Clémence Mauron, Louise Pierga, Antoine Hirel, Tatiana Djordjevic, Hugo Oriol, Morgan Fortin, Lucie Marangoni, Olivier Pruniaux
Dans Push up, on est prêt à tout pour grimper au 16ème étage, « étage de la direction ». Trois entretiens sulfureux illustrent cette soif de pouvoir et montrent sans détour les rouages machiavéliques de cette entreprise où les personnages sont en proie à une trop grande ambition. Qui se fera manger le premier dans une entreprise où tout est gouverné par l’apparence et le désir de puissance ?