La science-fiction s’invite au plateau pour un spectacle hybride au croisement des arts vivants et des arts numériques.

Entouré d’une équipe à l’engagement incontestable, le jeune metteur en scène Emilien Malausséna s’attèle à la création des Dramuscules de Thomas Bernhard, trois saynètes enchaînées comme des poupées russes, l’une incluant l’autre jusqu’à la finale…

Deux jeunes filles promises au mariage refusent de se soumettre à leurs destinées. L’une, Elsbeth, fille du roi de Bavière doit être présentée au prince de Mantoue. Mais l’opportuniste Fantasio usurpe la place du défunt bouffon de la Cour pour se divertir du pouvoir et faire avorter cette union. L’autre, Camille, renonce à son charmant cousin préférant le voile à son inconstance. Son promis Perdican, provoque alors sa jalousie pour tenter de l’en dissuader.

Après We are la France, Jean-Charles Massera et Benoît Lambert poursuivent leur exploration de la société contemporaine. L'auteur détourne certains codes d'écriture contemporains (modes d'emploi, documents juridiques, etc.) pour nous interroger : maintenant, qu'est-ce qu'on fait ?

Le théâtre s’invite là où on ne l’attend pas avec cette petite leçon d’économie politique à l’usage de tous. A ne pas manquer.

Avec sobriété, Benoît Lambert met en valeur les vers de Molière. Dans un ingénieux dispositif scénique et sur fond de musique pop, les comédiens tracent avec énergie et sincérité les contours de nos propres questionnements.

Avec sobriété, Benoît Lambert met en valeur les vers de Molière. Dans un ingénieux dispositif scénique et sur fond de musique pop, les comédiens tracent avec énergie et sincérité les contours de nos propres questionnements.

Ca ira quand même est un spectacle qui tente de saisir l’état de commotion dans lequel nous ont plongés certains événements politiques récents à travers le regard joyeux et cruel d’un groupe d’acteurs. Une sorte de journal ouvert où l’on tenterait de mesurer comment la politique travaille l’intimité de nos vies.

Ca ira quand même est un spectacle qui tente de saisir l’état de commotion dans lequel nous ont plongés certains événements politiques récents à travers le regard joyeux et cruel d’un groupe d’acteurs. Une sorte de journal ouvert où l’on tenterait de mesurer comment la politique travaille l’intimité de nos vies.

Une fable violente sur les rapports de domination. Puntila, maître intraitable et sévère lorsqu'il est à jeun, se transforme dès qu'il a bu en "être humain", sensible aux souffrances de ses proches et au sort misérable de ses employés, annihilant ainsi les défenses de ceux qu'il domine et obtenant d'eux ce qu'une exploitation directe et brutale n'aurait pu lui fournir.