Guido Reyna

Depuis 1990, il joue ou met en scène en Argentine, des pièces de Ben Jonson (Volpone), G. Lorca (El Publico), Puig (Le baiser de la femme araignée), entre autres.

Il participe aussi à des divers spectacles de création collective (Passionnelle, La folie n''existe pas mon amour !, Un moment bleu) et il traduit et met en scène (2004) L’homme orange de L. Martin (El fruto prohibido-Cie. Las Miserables) et Crouchinades de C. Siméon (Confesión - Théâtre Municipal de Jesus Maria).

Entre 1997 et 2000, il participe dans des productions du théâtre universitaire de Genève (Trans- Oreste - Express, Vade-mecum, vade rétro (petit glossaire de malices) et Le grand chariot d’après J. Viallon).

A Paris, il joue des textes de Shakespeare (La comédie des méprises), Pinget (Architruc) et dans l’adaptation d’un récit autour de la guerre au Kosovo de J.F. Granadel (Soleil Rouge).

Il fait partie des fondateurs de la Compagnie Isn’t It avec laquelle il joue Les bâtisseurs d’Empire ou le schmürz de Boris Vian, Erzebeth de C. Prin, C’est comme ça que ça se passe d’après Les règles du savoir-vivre dans la société moderne de Jean-Luc Lagarce, Caperucita ! d’après Le Petit Chaperon rouge de Charles Perrault, Kâma-sûtra : observations générales d’après les textes de Vâtsyâyana, dans un spectacle de sa conception Aux demoiselles de Buenos Aires d’après un texte de Daniel Veronese et les préludes de Debussy avec le pianiste Silas Bassa ainsi que dans D’ailleurs c’est toujours les autres qui meurent de S. Heurtel et P. Fournier (théâtre en appartement).

Il se produit dans Les précieux ridicules, d’après la pièce de Molière. On le retrouve dans Le Roi Nu m.e.s par Julie Desmet et Caroline Pallarès.