François Rollin

François Rollin
Humoriste

Edouard Baer, il est super, c’est mon copain. Il m’a invité souvent dans des trucs rigolos qu’il faisait à la télé ou à la radio et maintenant on fait ensemble Le Grand Mezze au Rond-Point. C’est un complice épatant. Je suis fier et heureux d’innover avec lui.

Avec mes copains Benoît Delépine et Jean-Marie Gourio, on a inventé la belle grande formule des Guignols de Canal, à contre-courant de ce qui se faisait avant. C’était exaltant.

J’ai une authentique affection pour quelques comiques très populaires. J’ai beaucoup travaillé avec Pierre Palmade, j’ai prêté main forte à Jean-Marie Bigard. Je récidiverai à l’occasion.

Jean-Michel Ribes est un gars essentiel dans ma vie. Je m’honore de mériter son estime et son amitié. Il m’a convié à Merci Bernard, m’a adoubé dans Palace, et m’a entraîné dans des tas d’autres aventures. Il a mis en scène mon premier spectacle, Hirondelles de Saucisson, et il me remet en scène cette fois-ci.

J’ai écrit le spectacle Colères avec Joël Dragutin, qui m’a mis en scène. Je suis fier comme un pou de ce qu’on a fait ensemble. Il m’a emmené très loin.

J’aime bien la musique. J’ai été un pilier de Tchouk-Tchouk-Nougâh, un groupe musical burlesque. Ensuite, j’ai conçu et mis en scène un spectacle des Désaxés (quatre saxophones), puis celui des Trompettes de Lyon (cinq trompettes). Maintenant, avec mon ami Jean-Félix Lalanne, je donne dans la guitare.

J’ai croisé l’inclassable Patrick Robine, l’ineffable Pierre Aucaigne, et le virtuose Vincent Roca. Je suis leur co-auteur, leur metteur en scène, et leur ami.

J’ai croisé l’étrange Jean-Jacques Vanier. J’ai co-écrit et mis en scène deux de ses spectacles, dont L’envol du Pingouin. On a bien bossé, et ça s’est su.

Je me suis lié d’amitié avec l’auteur Gérald Sibleyras. C’est ainsi que j’ai mis en scène son remarquable Béret de la Tortue, et que j’ai écrit avec lui Le petit chat jaune, pour mon ami Darry Cowl, une joyeuse comédie qui devrait voir le jour bientôt.

Je me suis penché sur le travail du conteur Gérard Potier. J’ai adoré co-écrire et mettre en scène son spectacle Quand je serai petit. Je n’oublie pas ma collaboration avec Chantal Ladesou, Laurent Violet, Serge Riaboukine, ou Stéphane Guillon. Chacun m’a apporté de belles émotions.

J’ai inventé la formule du « Championnat du Monde de récit par équipes en relais ». C’est un objet théâtral inattendu qui a cassé la baraque ici et là. J’en referai à l’occasion.

J’ai fait un an de chroniques dans les Matinales d’Europe 2. Sur la même station, j’ai fait le zouave avec mon ami Laurent Baffie. C’était rigolo.
Quand les radios libres sont apparues, je me suis agité comme un fou (Gilda, Mercure, Métropole). J’ai beaucoup appris.
France-Inter a longtemps été ma maison. J’y ai servi, dans la joie, Villers, Mermet, et quelques autres. J’ai chroniqué quotidiennement pendant trois ans avec Brigitte Vincent, puis deux ans avec Serge Fournel (Curriculum Vite Fait).

Karl Zéro m’a souvent appelé à la rescousse, et m’a ouvert des espaces de liberté dont j’ai joyeusement profité (Le vrai journal, Le JBN).
J’ai fait un bout de chemin avec Ardisson, pour lequel j’ai imaginé Ardimat. C’était une époque.

J’ai fricoté avec le cinéma, comme comédien ou comme scénariste. Plein de belles émotions avec Pierre Jolivet, Frédéric Jardin, ou Rémi Waterhouse.

J’ai été un collaborateur zélé du journal Le Monde pendant plus de 10 ans. Ma mère était fière de ça. Je peux comprendre.
Je me suis glissé dans les colonnes de Fluide Glacial ou de Vu de Gauche. Il faut bien militer un peu.

J’ai fait les textes de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’Albertville. Ma plus belle audience (2 milliards de téléspectateurs).
J’ai fait de biens jolis petits bouquins avec Benoît Jacques, avec Michel Bridenne. C’est chouette, les bouquins.
J’ai publié chez Glénat un recueil de chroniques, J’ai réfléchi pour vous.

Chez Warner, j’ai commis deux cassettes Professeur Rollin, magistralement filmées par Ribes.
J’ai adapté les spectacles du génial québécois Pierre Légaré. Je suis déjà bien fier, et je le serai encore plus quand on va le monter à Paris.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - François Rollin

66 jours

Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes

le 1 mars 2024
1h05
CONTEMPORAIN Comédie dramatique Seul(e) en scène Terminé
  • De : Théo Askolovitch
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Théo Askolovitch

Été 2018, c’est la Coupe du monde de football, Théo Askolovitch a 20 ans et apprend qu’il est atteint d’un cancer. Avec humour et générosité, ce seul en scène nous montre que les combats les plus intimes sont souvent les plus universels. À partir de 11 ans.

66 jours

Théâtre des Béliers Parisiens, Paris

du 2 oct. 2022 au 8 janv. 2023
1h05
CONTEMPORAIN Comédie dramatique Seul(e) en scène Terminé
  • De : Théo Askolovitch
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Théo Askolovitch

Été 2018, c’est la Coupe du monde de football, Théo Askolovitch a 20 ans et apprend qu’il est atteint d’un cancer. Avec humour et générosité, ce seul en scène nous montre que les combats les plus intimes sont souvent les plus universels. À partir de 11 ans.

Allo papa Django, sur les pas de Django Reinhardt

L'Archipel, Théâtre et Cinéma, Paris

du 22 au 25 juin 2022
1h10
MUSIQUE & DANSE Théâtre musical Jazz, blues & gospel Terminé
  • De : François Rollin
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Jeff Mignot, Roland Romanelli, Fifi Chayeb, Rébecca Mai

Une heure de pur plaisir ! Un trio de rêve, rassemblé autour de l'accordéon endiablé de Roland Romanelli, entreprend de vous offrir un récital de jazz manouche, enchaînant les morceaux favoris de l'un des maîtres du genre, Django Reinhardt.

Jarnal - Entre les gouttes

Le Bout, Paris

du 10 sept. 2021 au 24 juin 2022
1 heure
HUMOUR & CAFÉ THEATRE One (wo)man show Terminé
  • De : Jarnal
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Jarnal

Je n’aime pas me vendre mais je vais essayer de me racheter.

Guy Carlier

Théâtre des Mathurins, Paris

du 8 janv. au 22 mai 2022
HUMOUR & CAFÉ THEATRE Terminé
  • De : Guy Carlier, François Rollin
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Guy Carlier

On pleure un peu, on rit beaucoup et on chante "Résiste" avec les vaches.

66 jours

Théâtre La Flèche, Paris

du 5 janv. au 29 avr. 2022
1h05
CONTEMPORAIN Comédie dramatique Seul(e) en scène Terminé
  • De : Théo Askolovitch
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Théo Askolovitch

Été 2018, c’est la Coupe du monde de football, Théo Askolovitch a 20 ans et apprend qu’il est atteint d’un cancer. Avec humour et générosité, ce seul en scène nous montre que les combats les plus intimes sont souvent les plus universels. À partir de 11 ans.

Jarnal - Entre les gouttes

Le Bout, Paris

du 11 au 25 juin 2021
1 heure
HUMOUR & CAFÉ THEATRE One (wo)man show Terminé
  • De : Jarnal
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Jarnal

Je n’aime pas me vendre mais je vais essayer de me racheter.

Jean-Jacques Vanier - A part ça, la vie est belle

La Divine Comédie, Paris

du 16 au 25 oct. 2020
1H30
HUMOUR & CAFÉ THEATRE Coup de cœur One (wo)man show Terminé
  • De : Jean-Jacques Vanier, François Rollin
  • Mise en scène : François Rollin
  • Avec : Jean-Jacques Vanier
C’est quoi la vie, c’est quoi une carotte. Un spectacle à mourir, de rire entre autres. Retour sur scène d’un spectacle culte.
Tatiana Djordjevic - J'ai rien entendu mais j'ai tout compris

Théâtre du Marais, Paris

du 21 sept. 2019 au 14 mars 2020
1 heure
HUMOUR & CAFÉ THEATRE One (wo)man show Terminé
  • Mise en scène : François Rollin, Olivier Pruniaux
  • Avec : Tatiana Djordjevic
Le spectacle débute par ce douloureux constat : « Ma vie a basculé le jour où je me suis rendue compte que j'étais plus intelligente que mes parents. »
Tatiana Djordjevic - J'ai rien entendu mais j'ai tout compris

Théâtre du Marais, Paris

du 4 févr. au 29 juin 2019
1 heure
HUMOUR & CAFÉ THEATRE One (wo)man show Terminé
  • Mise en scène : François Rollin, Olivier Pruniaux
  • Avec : Tatiana Djordjevic
Le spectacle débute par ce douloureux constat : « Ma vie a basculé le jour où je me suis rendue compte que j'étais plus intelligente que mes parents. »