Ferdinand Flame

Ferdinand Flame

Né le 03 Octobre 1991 à Paris, Ferdinand Flame a passé un bac option cinéma audiovisuelle. Il s'est orienté vers le théâtre sur le tard, à 19 ans et a suivi les cours de Sandra Rebocho au conservatoire du 10eme arrondissement de Paris. Parrallèlement il a monté une troupe avec laquelle ils ont joué le spectacle Chaise gardée dans divers festivals étudiants, puis a intégré l'EDT91 en 2012. Il a eu la chance de travailler avec des professionnels comme Agnès Bourgeois avec qui nous avons joué Traces d'Henri 6 à l'Anis Gras, Philippe Lanton, Irène Bonnaud, Jean Édouard Bodziak ou encore Éric Houzelot et Bernard Bloch. Il s'oriente désormais vers la mise en scène.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Ferdinand Flame

Don Carlos

Théâtre de la Commune, Aubervilliers

du 6 au 10 mars 2024
2h
CONTEMPORAIN Politique Société Terminé
  • De : Friedrich Schiller
  • Mise en scène : Ferdinand Flame
  • Avec : Claire Toubin, Jeanne Berger, Guillaume Gendreau, Oscar Montaz

Ferdinand Flame se saisit de la fable politique de Schiller pour la mêler au dispositif de l’émission de télé-réalité Loft Story. La mise en scène des protagonistes historiques, qui voient la Cour d’Espagne sombrer dans un régime de post-vérité suite à la trahison de leur roi, entre ainsi en résonance avec le terrarium où Loana et ses acolytes rivalisent entre eux pour gagner en reconnaissance. 

La déplacée ou la vie à la campagne

Cartoucherie - Théâtre du Soleil, Paris

du 4 au 22 mai 2016
2h05
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Heiner Müller
  • Adaptation : Bernard Bloch
  • Mise en scène : Bernard Bloch
  • Avec : Djalil Boumar, Deborah Dozoul, Ferdinand Flame, Robin Francier, Carla Gondrexon, Hugo Kuchel, Juliette Parmantier, Jeanne Peylet
Cette tragi-comédie politique que Heiner Müller écrit dès la fin des années 50, met au jour, de l’intérieur, les écueils d’un socialisme qui a échoué à l’endroit où il était porteur d’espoir : l’émancipation des peuples. Présenter La Déplacée ou La vie à la Campagne près de 100 ans après la révolution d’Octobre, c’est proposer de réfléchir à cet échec du socialisme et tenter de reconquérir la faculté de rêver une issue au monde sinistre et dangereux qui se dessine.