L’univers de Martine Pisani est ludique, poétique et généreux. À découvrir grâce à une pièce qui distille l’essentiel de vingt ans de créations.

Ryoanji de John Cage s’inspire de l’architecture du jardin de pierres du temple bouddhiste « Ryoan-ji » à Kyoto, en combinant les paramètres numériques et les opérations de hasard. La chorégraphe Olivia Grandville et le percussionniste Lê Quan Ninh unissent leur talent pour recomposer Cinq Ryoanji, hommage à John Cage.

(H)and(s)est à la fois une installation et une pièce chorégraphique. Dans le flux piétonnier de métropoles, Clara Cornil a photographié des mains, partie du corps qui laisse apparaître des signes imperceptibles et quotidiens de ce qui se vit, de ce qui s’échange. L’installation propose de circuler dans ces images prises à New York, Hanoï, Kinshasa, Kyoto et Cuenca. Ensuite, le spectateur est invité sur le plateau.

Identité ?… est une forme de journal intime à 4 mains qui traite de la représentation que chacun se fait de lui-même et des malentendus qui en résultent. Redoux, pièce chorégraphique pour sept danseurs, marque l’aboutissement d’une recherche chorégraphique centrée sur le thème du corps démembré, dispersé et recomposé.

A la salle des mariages de l’Hôtel de ville de Blanc-MesnilRegard inédit et différent sur la réalité quotidienne d’un lieu public : l’Hôtel de ville de Blanc-Mesnil, et plus particulièrement la salle des mariages. Suivi d'une chorégraphie, témoin d’une rencontre entre danseurs et musiciens, éthiopiens et européens.

“La Finale s’inscrit dans un cheminement guidé par mes rencontres avec des musiciens et s’appuie sur les rapports qu’entretiennent le son, le texte et le mouvement des corps ou celui de la lumière. Les vers libres de Célia Houdart, inspirés de l’événement de la Toungouska, nous en offrent le lexique.” Sylvain Prunenec.

Martine Pisani part de l’observation des corps, de corps singuliers, forcément singuliers, elle guette une démarche, une attitude. Elle invente aussi ses chorégraphies à partir de la mise en présence de ces singularités. Il y a de la dérision, de l’espièglerie dans leurs exploits.

Meublé Sommairement, Les Carnets Bagouet. Dans le cadre des Iles de Danse 2000. Adapté d’une nouvelle d’Emmanuel Bove " Aflalion, Alexandre "