Dominique Kling

Dominique Kling

Formé en art dramatique au Conservatoire National de Région de Strasbourg (1993-1995), Dominique Kling a travaillé avec les metteurs en scène de Strasbourg les plus en vue : Mikhaïl Kroutov, Adan Sandoval, Aldona Skiba-Lickel, Jean-Luc Falbriard, Jack Reinhardt, Raphaël Scheer…

Dominique Kling y a notamment travaillé à Strasbourg avec Jacques Bachelier (L’Histoire du Soldat, de Ramuz) et sur de nombreuses créations, dont Les Koquineries (textes érotiques, m.e.s. Jean-Luc Falbriard), Douce Violence de Raphaël Scheer (m.e.s. M. Goldberg), Nuit Tranquille de Patrick Sibold (m.e.s. Jack Reinhardt).

Il a aussi beaucoup travaillé sur des auteurs russes, jouant dans Les Possédés et Moi, Nastasia Philipovna d’après Dostoïevski (m.e.s. Aldona Skiba-Lickel), ou Qui sommes-nous ? d’après Tchekhov (m.e.s. Micha Kroutov).

Apprécié pour ses qualités de sincérité, de sensibilité et de simplicité, il sait construire dans tous les registres des personnages profonds, humains, quelquefois troublés et cependant toujours accessibles.

C'est en 1998 qu'il crée sa première mise en scène avec une pièce de Loïc Guingand et Raphaël Scheer : Courte-Pailles, suivi en 2000 de La femme à barbe des même auteurs, avec la participation de François Wintz.

Il a notamment créé Vin et Mort de Jean-Michel Chairon.

Il a tenu le rôle principal de la pièce Un caprice de Bonaparte de Stefan Zweig, mis en scène par Marc Goldberg au Vingtième Théâtre à Paris en juin 2003.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Dominique Kling

Un Caprice de Bonaparte

Vingtième Théâtre, Paris

du 30 avr. au 14 juin 2003
1H15
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Stefan Zweig
  • Mise en scène : Marc Goldberg
  • Avec : Stephen Szekely, Marc Goldberg, Denis Laustriat, Dominique Kling, Julie B. Bousquet, Arnaud Maudeux, Cédric Tuffier, Delphine Lacouque
Pendant la campagne d’Egypte, le jeune Bonaparte s’enflamme pour l’épouse d’un lieutenant. Charisme, ambition, bonnes mœurs, jalousie, honneur et ordre : tout se télescope, et son caprice met bientôt en péril le destin du gran homme… Mais au-delà, semble s’interroger Zweig dans cette pièce, n’est-ce pas les drames et les lubies de l’histoire moderne qui s’annoncent ?