Didier Goret

Didier Goret

Né en 1957, il fait ses classes de piano, d'harmonie et contrepoint et de composition électroacoustique. Il réussit une Licence de musicologie (Paris IV) ; tout en étudiant la composition avec André Hodeir, Jacques Lejeune, Guy Reibel et le compositeur américain David Engel, l'arrangement avec Yvan Julien, l'improvisation avec Pierre Cammas et Martial Solal et la direction d’orchestre avec Nicolas Brochot. 

Il joue dans divers groupes de jazz (Yvan Julien, Roger Guérin, François Chassagnite, Sylvain Luc, Hervé Cavelier...) et de chanteurs (Laurence Saltiel, Guilaine Delassus, Johan Desforges, Mathiew Gonder, Allen Hoist...) et crée différentes formations dont un big band, Assiette Anglaise (avec lequel il obtient le prix de la SACEM au concours national de la défense 1983), grave un CD (en 1988), donne des concerts (New Morning, Maison de la radio, Musée d'art moderne, Petit Journal, Dunois...) et monte un trio, avec lequel il obtient le 1er Prix au concours international de composition de Monaco. 

Accompagnateur de Juliette (4 albums), Hélène Delavault, Sylvie Louche, Font et Val, Marie Paule Belle, Maurice Baquet, Isabelle Morelli, Captain Mercier, Colette Renard, Soledona... ; il réalise, comme arrangeur/compositeur, divers albums de chanson française (Juliette, Jean Guidoni, L.Saltiel, I.Morelli, C.Dente, Paco...) et écrit un Opéra Jazz pour un choeur de 300 enfants, orc h e s t re et solistes (commandé par le Ministère de l’Education nationale, création en Juin 1999 à l’Opéra-Théâtre de Massy). Il travaille également avec Jérôme Savary (Zazou) et différentes troupes de théâtre ou de music hall.

C’est aussi un compositeur régulier pour des formations jazz (O.N.J 86, Gérard Badini big band, Steckar tubahorde, Milky Sax, Chance Orchestra, INC Jazz Corporation, Megaswing big band, Caravansérail, le quatuor à cordes Archétypes...) ou autres formations (Quintette Epsilon, Quintette Just'à cinq, Quatuor de saxophones de Paris, quatuor de clarinettes Images, Duo Spinosi, Mel Culbertson, Philippe Legris, Ensemble des Hauts de France, l’orchestre de tango Horacero...), mais également pour des musiques de scène, des musiques de films (3 films pour la Gaumont), de documentaires (la Cinq : Le siècle des machines, Arte : Le regard Clair) , pour CD Rom (Capa Production : Le cinéma des frères Lumières ) et pour des éditeurs de musique d'illustration (Éditions Encore Merci, Warner et Koka Media).

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Didier Goret

Didier Goret quartet

Festival de Pierrefonds, Pierrefonds

le 19 juil. 2003
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Didier Goret, Juan-José Mosalini, Beat Michael Gneist, Benoît Dunoyer de Segonzac
Un jeu, une exploration autour du tango argentin, une curieuse planète exotique, voire même hybride. Dans l’écriture, tout d’abord, en proposant une image fondamentalement européenne du tango. Dans l’alliance des musiciens enfin, choisis précisément pour leurs parcours hétérogènes.
La Valse des Chevals

Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes

du 3 au 4 avr. 2003
1H30
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Guy Jalon, Gilles Guillot, Didier Goret
  • Avec : Laurence Saltiel, Didier Goret
Imaginez que tout ce dont vous aviez toujours rêvé confusément se réalise enfin. Imaginez toujours que ce que vous croyiez être vos échecs aient été en réalité vos réussites les plus éclatantes. Eh bien, là encore, vous étiez dans l’erreur. "La Valse des chevals" n’est pas une illusion, c’est de la chanson, c’est tout (et c’est bien assez).
Embrasse-moi beaucoup

Epopea, Pierrefonds

du 2 au 3 août 2002
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Mise en scène : Michel Cerda
  • Avec : Sylvie Louche, Didier Goret
Conçu tel un cabaret «lyrique», Embrasse-moi beaucoup est construit autour d’une vingtaine de chansons d’amour, interprétées par des femmes, des années 1920 à 1942. Chantées par les plus connues (Lucienne Boyer), ou par des interprètes aujourd’hui un peu oubliées : Lucienne Delyle, Yvonne Georges, Léo Marjane, Eva Busch.... ces compositions drôles, insolentes mais aussi pathétiques, sublimations de toutes les détresses, sont le reflet d’une période (l’entre-deux guerres), annonciatrice de grands bouleversements.