Diana Cavalieri
Comédienne, danseuse et mime, elle a été formée à l’Ecole Internationale de Mimodrame Marcel Marceau.
Oscartoon, spectacle de mime de M. El Hares au Liban
Le Syndrome du Papillon, Cie En corps et Encore
L’Evasion, spectacle de théâtre gestuel, Cie Gestus
Le jardin disparu au
Château de Versailles
Rêves de roi au
Château de Versailles
Stramonium 9CH d'Annamaria Moraschi
Depuis 1999, anime des ateliers et des stages de mime, de clown et d’initiation aux arts du cirque en France, en Italie et au Liban.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Diana Cavalieri
Stramonium 9 CH
Embarcadère, Paris
du 2 mars au 1 avr. 2007
1 heure
JEUNE PUBLIC
Terminé
-
De :
Annamaria Moraschi
-
Avec :
Annamaria Moraschi,
Diana Cavalieri
A partir de 5 ans. Un remède homéopathique contre les cauchemars et la peur du noir. Jonglant avec logique et absurdité, ce spectacle sans paroles fait appel au théâtre gestuel et au théâtre d’objets. Le dénouement de cette histoire nous rappelle que l’amitié est toujours possible, malgré la différence. Et que même le rêve le plus fou peut devenir réalité, pourvu qu’on le désire vraiment.
Stramonium 9 CH
Embarcadère, Paris
du 13 au 22 oct. 2006
1 heure
JEUNE PUBLIC
Terminé
-
De :
Annamaria Moraschi
-
Avec :
Annamaria Moraschi,
Diana Cavalieri
A partir de 5 ans. Un remède homéopathique contre les cauchemars et la peur du noir. Jonglant avec logique et absurdité, ce spectacle sans paroles fait appel au théâtre gestuel et au théâtre d’objets. Le dénouement de cette histoire nous rappelle que l’amitié est toujours possible, malgré la différence. Et que même le rêve le plus fou peut devenir réalité, pourvu qu’on le désire vraiment.
Stramonium 9 CH
Embarcadère, Paris
du 6 au 18 févr. 2006
1 heure
JEUNE PUBLIC
Terminé
-
De :
Annamaria Moraschi
-
Avec :
Annamaria Moraschi,
Diana Cavalieri
A partir de 5 ans. Un remède homéopathique contre les cauchemars et la peur du noir. Jonglant avec logique et absurdité, ce spectacle sans paroles fait appel au théâtre gestuel et au théâtre d’objets. Le dénouement de cette histoire nous rappelle que l’amitié est toujours possible, malgré la différence. Et que même le rêve le plus fou peut devenir réalité, pourvu qu’on le désire vraiment.