Après des études de médiation culturelle, il prend des cours de théâtre tout d’abord au Cours Florent en première année puis pendant deux ans à l’école du studio d’Asnières dirigé par Hervé Van Der Meulen et Jean-Louis Martin-Barbaz. Il finit par intégrer en décembre 2013, la promotion de l’Atelier Volant du Théâtre National de Toulouse. Cette formation professionnalisante d’un an lui permet entre autres, d’être engagé sur deux spectacles mis en scène par Laurent Pelly, Mangeront-ils ? de Victor Hugo créé au TNT en avril 2013 et plus récemment dans Le Songe d’une nuit d’été créé au TNT en mars 2014. En 2015, il joue pour Jean Bellorini dans Un fils de notre temps d’Odön von Horváth, créé au Théâtre Gérard Philipe. En parallèle, il rejoint la Compagnie La chevauchée et joue dans le spectacle Plateau n°1 mis en scène par Mathieu Barché.
En 2016, il rejoint le projet d’Emmanuel Daumas intitulé Ceux qui n’en sont pas. Cette création utilisant l’écriture au plateau comme procédé principal, sera présentée à la Ferme du Buisson puis dans le cadre du Festival Jerk off à la rentrée prochaine.Un autre projet débutant cette année et dans lequel il s’inclut aussi en tant qu’acteur, est celui d’Arnaud Vrech et de sa compagnie « Il faut toujours finir ce qu'on a commencé » autour du roman À l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie d’Hervé Guibert, spectacle créé au théâtre de la Verrière à Lille en Décembre 2016.
Nanterre - Amandiers, Nanterre
Après le succès rencontré à sa création, Jean Bellorini et sa troupe de comédiens, chanteurs et musiciens reprennent la comédie féroce de Nicolaï Erdman, écrite en 1928 : une satire au vitriol du stalinisme et de la société soviétique. Derrière la farce absurde, l’œuvre résonne avec les dérives totalitaires de notre époque.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
Avec Footballeur, le comédien et metteur en scène Arnaud Vrech conçoit un projet librement inspiré de la vie de son grand frère. Alors que celui-ci s’engageait dans une carrière de footballeur professionnel toute tracée, il apprend qu’il est atteint de rétinite pigmentaire. Il va progressivement perdre la vue et rien ne peut l’empêcher.
MC93, Bobigny
Après le succès rencontré à sa création, Jean Bellorini et sa troupe de comédiens, chanteurs et musiciens reprennent la comédie féroce de Nicolaï Erdman, écrite en 1928 : une satire au vitriol du stalinisme et de la société soviétique. Derrière la farce absurde, l’œuvre résonne avec les dérives totalitaires de notre époque.
TGP - CDN de Saint-Denis, Saint-Denis