Comment survivre à la violence du déracinement ? Dans cette création, inspirée par des ateliers de danse menés dans des camps de réfugiés, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou s’interroge sur le thème de l’exil. Celui qui frappe les « étranges étrangers » d’un monde globalisé, et celui que chacun porte en soi. La danse se fait témoignage de parcours individuels et collectifs très émouvants.

Comment survivre à la violence du déracinement ? Dans cette création, inspirée par des ateliers de danse menés dans des camps de réfugiés, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou s’interroge sur le thème de l’exil. Celui qui frappe les « étranges étrangers » d’un monde globalisé, et celui que chacun porte en soi. La danse se fait témoignage de parcours individuels et collectifs très émouvants.

Comment survivre à la violence du déracinement ? Dans cette création, inspirée par des ateliers de danse menés dans des camps de réfugiés, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou s’interroge sur le thème de l’exil. Celui qui frappe les « étranges étrangers » d’un monde globalisé, et celui que chacun porte en soi. La danse se fait témoignage de parcours individuels et collectifs très émouvants.

Comment survivre à la violence du déracinement ? Dans cette création, inspirée par des ateliers de danse menés dans des camps de réfugiés, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou s’interroge sur le thème de l’exil. Celui qui frappe les « étranges étrangers » d’un monde globalisé, et celui que chacun porte en soi. La danse se fait témoignage de parcours individuels et collectifs très émouvants.

Comment survivre à la violence du déracinement ? Dans cette création, inspirée par des ateliers de danse menés dans des camps de réfugiés, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou s’interroge sur le thème de l’exil. Celui qui frappe les « étranges étrangers » d’un monde globalisé, et celui que chacun porte en soi. La danse se fait témoignage de parcours individuels et collectifs très émouvants.

Ouagadougou, le chorégraphe burkinabè Serge Aimé Coulibaly la connaît bien. Il y est chez lui. Pourtant par deux fois, le 20 décembre 2006 puis le 14 avril 2011, le destin du pays sembla basculer. Des coups de feu, des cris, des bruits de bottes… Ce sont ces deux nuits de troubles qui ont amené la création de ce spectacle. Deux nuits et une troisième, celle imaginée de la veille des élections qui, en 2015, donneront, peut-être, un nouveau président au Burkina Faso.

Une femme. Elle danse, accompagnée d’un morceau de tissu, son bagage, son « territoire intime », son autre peau, la trace d’un itinéraire, d’une errance, d’un entre-deux. Elle est en quête d’une identité, elle veut « déterrer sa créolité ». À New York, perdue dans l’anonymat d’une Babylone indifférente, elle doit partir, prendre sa peau sur son dos, en fuite vers un ailleurs, vers sa Guadeloupe natale…