C’est une bien triste histoire que celle de Suzanne Simonin, toute jeune fille qui prononçant ses vœux sous la contrainte, restera enfermée de couvent en couvent. Aux prises avec la violente rigueur des cloîtres où les chants et les corps tourbillonnent en de folles hallucinations, elle n’aura de cesse de protester, avec toute la sublime énergie de sa jeunesse, contre le sacrifice de sa liberté.

A l’occasion du centenaire de la naissance de René Char. Les transparents, les matinaux, sont des vagabonds, des marginaux qui vivaient libres, au début du siècle, mimant des poèmes sur les places de villages. Dans un univers décalé, des voyageurs sans destination vont faire revivre la parole du poète, nous délivrer des messages d’amour et de révolte, réveiller nos imaginations engourdies par la médiocrité ambiante.

C’est une bien triste histoire que celle de Suzanne Simonin, toute jeune fille qui prononçant ses vœux sous la contrainte, restera enfermée de couvent en couvent. Aux prises avec la violente rigueur des cloîtres où les chants et les corps tourbillonnent en de folles hallucinations, elle n’aura de cesse de protester, avec toute la sublime énergie de sa jeunesse, contre le sacrifice de sa liberté.

Loufoque, farfelu, drôle, plein de charme et d'esprit, c'est ainsi que se définit cette Opérette imaginaire. Un projet passionnant que de marier le texte et la musique, le jeu théâtral et la voix.

C’est une bien triste histoire que celle de Suzanne Simonin, toute jeune fille qui prononçant ses vœux sous la contrainte, restera enfermée de couvent en couvent. Aux prises avec la violente rigueur des cloîtres où les chants et les corps tourbillonnent en de folles hallucinations, elle n’aura de cesse de protester, avec toute la sublime énergie de sa jeunesse, contre le sacrifice de sa liberté.

Loufoque, farfelu, drôle, plein de charme et d'esprit, c'est ainsi que se définit cette Opérette imaginaire. Un projet passionnant que de marier le texte et la musique, le jeu théâtral et la voix.