Trois interprètes se lancent dans un exercice passionnant et hilarant de construction-déconstruction de la danse contemporaine.

Un spectacle qui porte son nom à la perfection : il n’a jamais été aussi simple de se réjouir et même de rire du moindre geste dansé, d’écouter la musicalité des corps. Impertinent, drôle et léger, Simple marie les paradoxes dans un imaginaire sans limite.

Depuis plusieurs années, la chorégraphe argentine Ayelen Parolin explore les liens qui unissent danse et humour. Dans Zonder, à travers la figure de l’idiot heureux, elle échafaude une œuvre qui résonne comme une ode à l’irrationnel et l’imprévisible, insufflant dans l’écriture des espaces d’improvisation. À partir de 11 ans.

Voir sur scène vingt-quatre excellents artistes chorégraphiques est en soi un événement et une source d’émotions. Alors quand ils rencontrent les pièces débridées et follement maîtrisées de Maud Le Pladec et Ayelen Parolin, la promesse d’un feu d’artifice devient une évidence.

Trois interprètes se lancent dans un exercice passionnant et hilarant de construction-déconstruction de la danse contemporaine.

WEG, pièce ambitieuse pour 8 solistes, met la chorégraphe Ayelen Parolin en pleine lumière. Une exercice vertigineux et stimulant, une douce transe chorégraphique.

Huit filles conjuguent leurs plaisirs singuliers de s’éclater dans la danse, et de le faire ensemble. La musique est celle des chansons de P.J. Harvey, rockeuse du féminin intime et passionné, du désir et du méditatif. Pour sa nouvelle pièce, Publique, Mathilde Monnier place le plaisir au cœur de sa démarche toujours très contemporaine.

Huit filles conjuguent leurs plaisirs singuliers de s’éclater dans la danse, et de le faire ensemble. La musique est celle des chansons de P.J. Harvey, rockeuse du féminin intime et passionné, du désir et du méditatif. Pour sa nouvelle pièce, Publique, Mathilde Monnier place le plaisir au cœur de sa démarche toujours très contemporaine.

Pour explorer les dessous de la "passion de savoir", Jean-François Peyret, qui y puise depuis des années l'inspiration d'une pratique théâtrale à nulle autre pareille, a choisi de jouer avec La Vie de Galilée, à sa très libre façon, ne retenant de la pièce de Brecht que certains matériaux poétiques ou thèmes de réflexion pour créer un spectacle où la voix de Virginie, fille de Galilée, se mêle à celles, sceptiques ou "porc-épicuriennes", de Montaigne, Lucrèce ou Bibi la truie.