Arthur Simon

Arthur Simon

Arthur Simon est musicien (trompettes, claviers, percussions). Il est actuellement membre du groupe Ratamar, trompettiste du chanteur Rachid Taha.

2008 : musicien-comédien dans le spectacle Tendre Jeudi, m.e.s. Mathieu Bauer
2006 : sound-design de la série Une minute au musée, 40 dessins animés diffusé sur France 3 et TPS à partir de janvier 2007.
2004 : composition de la musique originale du film J’irai cracher sur vos tongs réalisé par Michel Toesca.
2001-2003 : trompettiste du groupe Ceux qui marchent debout, réalisation de l’album Orange
1998-2001 : conseiller musical, chef de projet au sein des Actions musicales du festival de jazz Banlieues bleues
1993-2001 : chef d’orchestre, compositeur-arrangeur du chanteur Kadda chérif Hadria, réalisation de l’album Dirikitabri (Al sur-1995), et co-réalisation avec Jean Claude Grénassia de l’album Djézaîr (Naîve-2001)
1991 : composition de la musique de scène du spectacle Esus, mis en scène par Jacques Falguières, scène nationale du théâtre d‘Evreux. Composition d’une chanson pour la chanteuse Elise Caron, disponible en 45 tour.
1989 : musicien-comédien dans le spectacle Hurle France, m.e.s. Jean Louis Hourdin.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Arthur Simon

Tendre Jeudi

Théâtre Public de Montreuil (CDN), Montreuil

du 11 févr. au 20 mars 2008
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • De : John Steinbeck
  • Mise en scène : Mathieu Bauer
  • Avec : Martin Selze, Sylvain Cartigny, Judith Henry, Marc Berman, Georgia Stahl, Arthur Simon, Alain Demoyencourt, Richard Sandra, Stan Valette
Mathieu Bauer de Sentimental Bourreau s’intéresse aux chaos de l’existence. Il met ici en scène des gens de toutes sortes, hors course, mais acharnés à vivre. A la petite semaine, sans ambition ni espoir, juste avec le désir d’aimer, de continuer. Ni pathétiques ni ridicules, tout à la fois émouvants et plutôt loufoques, ils n’ont rien à offrir que leur tendresse, et dans ce domaine, leur générosité est sans limite. Cette chronique de la Rue de la Sardine marque le triomphe d'un Steinbeck tendre et gai.