Mohamed Rouabhi et Patrick Pineau aiment donner la parole aux anonymes. Dans cette pièce pleine d’humanité, nous voilà aux côtés de vieux artistes en mal d’argent prêts à tout pour sauver leur EHPAD. Drôle et poétique.

Bernard Levy a désiré explorer l'espace mental ouvert par la langue de Beckett. Chaque réplique, éclat poétique, a de multiples sens et conduit le spectateur à une réflexion métaphysique, joyeuse et revigorante. À ne pas manquer !

Bernard Levy a désiré explorer l'espace mental ouvert par la langue de Beckett. Chaque réplique, éclat poétique, a de multiples sens et conduit le spectateur à une réflexion métaphysique, joyeuse et revigorante. À ne pas manquer !

Les idées neuves. Et, pour les incarner, les deux faces d’une même utopie, mais dont l’une, celle de Robespierre, va dévorer l’autre en immolant Danton. Dix ans après sa mise en scène à l'Odéon, Georges Lavaudant revient au chef-d'œuvre de Büchner.

Comme l’histoire de tous ces disparus, dont les corps jamais retrouvés hantent à l’infini celle de leurs proches, La Course retrace le parcours chaotique d'un jeune garçon qui décide de s’engager dans l’armée française en 1946.

Bernard Levy a désiré explorer l'espace mental ouvert par la langue de Beckett. Chaque réplique, éclat poétique, a de multiples sens et conduit le spectateur à une réflexion métaphysique, joyeuse et revigorante. À ne pas manquer !

Bernard Levy a désiré explorer l'espace mental ouvert par la langue de Beckett. Chaque réplique, éclat poétique, a de multiples sens et conduit le spectateur à une réflexion métaphysique, joyeuse et revigorante. À ne pas manquer !

Bernard Levy a désiré explorer l'espace mental ouvert par la langue de Beckett. Chaque réplique, éclat poétique, a de multiples sens et conduit le spectateur à une réflexion métaphysique, joyeuse et revigorante. À ne pas manquer !

Une famille réunie pour fêter Pessah, la Pâque juive, jour de réconciliation et de partage. On s’affaire pour bien préparer le rituel religieux, mais qui, parmi les enfants qui émergent du poids de l’Histoire, s’y intéresse encore aujourd’hui ? Un spectacle réjouissant par la qualité du texte, de la mise en scène et du jeu des acteurs.

Au début, une mère accuse son fils de mentir. A la fin, une compagne invite son compagnon à rêver. Entre ce début et cette fin, inscrite ainsi entre les marges du féminin, c’est une histoire d’homme, en cinq actes qui font toute une existence. A force de mentir-vrai, d’énergie et d’absence, à force de circuler à tous les étages de l’être, réels ou non, Peer l’exclu, le traqué, le rêveur un peu ivrogne et un peu fou, finit par se transmuer en créature quasiment mythique.