Mille et une danses en un spectacle qui nous parle de l’importance de danser, de nous toucher, nous étreindre, de transmettre par nos corps tout ce qui nous anime. Revivre.

Thomas Lebrun et ses interprètes s’inspirent librement d’Hiroshima mon amour, de leurs rencontres avec les hibakushas (les victimes des bombardements atomiques), de leur immersion dans cette ville d’aujourd’hui, pour interroger la transformation et l’effacement de la mémoire, et porter un regard aigu sur notre monde.

Une déclaration d'amour à la danse, avant qu'elle ne disparaisse, essentielle à chacun des douze interprètes de Thomas Lebrun, dont Odile Azagury et Daniel Larrieu.

Lied Ballet du chorégraphe Thomas Lebrun s’annonce comme une réflexion sur les codes du ballet. Considérant le plaisir de danser comme moteur de la création, Thomas Lebrun fait de son spectacle une variation virtuose. Avec le ténor Benjamin Alunni et le pianiste Thomas Besnard. Création musicale de David François Moreau.

Trois décennies d’amour cerné est une pièce composée de trois soli et d’un duo, en liaisons, en continu, en transmissions, en dissonances, en contradictions, sur l’apparition et l’évolution du Sida. Dans le cadre des Rencontre Chorégraphiques 2013.

Trois hommes opposent à l’aridité de la vie l’intensité du lien fraternel dans Ô mon frère !. Chorégraphie suivie de Qui bouge, quintet de ré-appropriation, de réflexion, soutenu par une forme hybride de représentation : danse, texte, installation.

Ils sont huit, plus l’homme au micro. Ils ont vingt ans entre 1930 et 1970. Ils sont là pour vous, pour vous séduire, pour vous convaincre de leur existence, et de leur talent. Pour recevoir de vous le moindre amour. Ils sont seuls.

Quelle place pour le passé, le présent et l’avenir, pour chacun ? Quels souvenirs, envies, rêves, projections, espoirs ? Comment relie-t-on l’avenir avec le passé au moment présent ? Go/stop/reverse oscille entre l’avant et l’après de chacune des interprètes. La pièce se lit comme un zapping de témoignages, de souvenirs, d’images qui se voudraient proches des interprètes, que ce soit dans une réalité propre à chacune d’elles, ou dans l’imaginaire de Thomas Lebrun.

Une soirée composée de trois pièces pour parcourir l’œuvre de Bernard Glandier, de la première à la dernière.