Orchestre de l’Opéra Royal
Prochainement - Orchestre de l’Opéra Royal
Salle Gaveau, Paris
- Direction musicale : Chloé de Guillebon
- Avec : Nicolò Balducci, Rémy Brès, Orchestre de l’Opéra Royal
Deux contre-ténors pour une œuvre emblématique : le Stabat Mater de Pergolèse. C'est ici la résurrection de l'histoire de la création en France de cette œuvre, portée à l'origine par deux castrats de la Chapelle royale de Louis XV !
Salle Gaveau, Paris
- Direction musicale : Théotime Langlois de Swarte
- Avec : Juliette Mey, Orchestre de l’Opéra Royal
Après plusieurs passages sur la scène de l’Opéra Royal, avec les Arts Florissants, Les Épopées ou l’Orchestre de l’Opéra Royal, la jeune mezzo-soprano Juliette Mey offre au public son premier récital autour de Vivaldi !
Salle Gaveau, Paris
- De : Jean-Sébastien Bach
- Direction musicale : Gaétan Jarry
- Avec : James Way, Robert Pohlers, Sreten Manojlovic, Morgan Pearce, Tölzer Knabenchor, Orchestre de l’Opéra Royal
Des deux passions de Bach conservées, la Saint Jean fut la première composée, et remise plusieurs fois sur le métier par le Cantor.
Salle Gaveau, Paris
- De : Georg Friedrich Haendel, Jean-Philippe Rameau
- Direction musicale : Gaétan Jarry
- Avec : Orchestre de l’Opéra Royal
La célèbre musique pour les feux d’artifice royaux a été composée en 1749 par Georg Friedrich Haendel pour les festivités en l’honneur du traité de paix d’Aix-la-Chapelle. À cette occasion, le Roi George II avait demandé à Haendel une musique festive pour accompagner un grand feu d’artifice tiré sur la Tamise. Haendel était alors une gloire vivante en Angleterre, et la musique somptueuse qu’il composa fit le plus grand effet sur le public.
De 1999 à hier - Orchestre de l’Opéra Royal
Salle Gaveau, Paris
- De : Wolfgang Amadeus Mozart
- Direction musicale : Gaétan Jarry
- Avec : Fanny Valentin, Ambroisine Bré, Kaëlig Boché, Alexandre Adra, Orchestre de l’Opéra Royal
Chef-d’œuvre inachevé, testament musical, composition sacrée intemporelle et dépassant le cadre liturgique, le Requiem de Mozart accumule les superlatifs. À sa mort, le 5 décembre 1791, le compositeur avait achevé entièrement l’Introït et le Kyrie, et défini pour une bonne partie le contenu des cinq parties suivantes, du Dies Irae au Confutatis.
