Mais n’te promène donc pas toute nue… / Feu la mère de Madame

Dans Mais n’te promène donc pas toute nue, un député reproche à sa femme l’étrange manie qu’elle a de se mouvoir en toute petite tenue dans leur appartement à la vue de tous (visiteurs, voisins, famille…), au contraire de Feu, la mère de Madame où cette fois c’est l’épouse qui réprimande son mari de rentrer passablement éméché au milieu de la nuit après avoir fait la « noce ».

A travers ces deux pièces, Feydeau se rattache à la tradition théâtrale la plus ancienne, la farce, mais aussi et surtout à la modernité de la comédie de mœurs. Il fustige ici l’intimité domestique du couple avec un sens aigu de l’observation, mais si le rire est omniprésent tout du long de ces deux comédies, il est indéniablement plus cruel.

• La presse

 " Plongées dans l'intimité de deux couples, ces deux farces, mises en scène par José Paul, dévoilent le meilleur de l'auteur français. " Direct Matin Plus, 06/05/09

 " Mais n'te promène donc pas toute nue et Feu la mère de Madame de Feydeau est irrésistible, mais Feydeau est difficile ! José Paul dirige d'une main vive ses camarades, bonne bande de comédiens pleins d'allégresse : Lysiane Meis, Michèle Garcia, Marc Fayet, Philippe Magnan, Stéphanie Cottin, Geoffroy Boutan.(...) " A. H. Le Figaroscope, 06/05/09