Hermia et Lysandre, Héléna et Démétrius, quatre jeunes amants à la recherche de l’autre, émouvants et loufoques. Thésée, héros masculin voire machiste a conquis Hippolyta par la force. Une compagnie d’artisans, ridicules et touchants, jouent la tragédie de Pyrame et Thisbé. Titania et Obéron, reine et roi des fées, se livrent un combat qui met en jeu domination, possession et sensualité. Leur conflit déchaîne les éléments cosmiques. Puck, serviteur bouffon d’Obéron, intelligent comme diable et démon du mouvement, accumule avec joie ses erreurs.
Les destins de chacun vont se croiser dans une forêt merveilleuse et inquiétante, leur permettant d'approcher leur insconscient et l'essence de leur désir. Le monde féérique est celui de l'ambivalence ; il y grouille à l'état brut des forces obscures qui animent les humains.
Merci bien, mais c'est triste que si Diana Stewart-Rossiné interprète Madame Quince depuis le début janvier 2007, et ce jusqu'au fin janvier 2008, son nom ne figure pas sur ce site. D'autant plus que sa participation a beaucoup aidé la remontée de cette pièce!
Beaucoup de bonnes idées dans la mise en scène, et de fraîcheur dans le jeu des acteurs. On ne s’ennuie pas une minute de la deuxième scène jusqu’à la fin. Petit bémol : « l’habit de fait pas le moine », néanmoins un petit budget pour les costumes de Thésée, Hyppolita et Egée serait vraiment le bienvenu.
Venu voir Diana Stewart en Madame Quince depuis janvier, j'ai été bluffé par un ensemble de comédiens qui ont tous interprêtés avec enthousiasme et justesse les différents personages et qui, ensemble, nous ont donné un spectacle super. Bravo à Béla Grushka pour son coaching et à toute l'équipe qui ont si généreusement tout partagé avec nous et qui nous ont fait rire aux larmes. Ils étaient tous top. Et une mise en scène d'une fraicheur et une légereté. Un mélange harmonieux de l'ancien et du contemporain - du Shakespeare oui, mais vivant.
Merci bien, mais c'est triste que si Diana Stewart-Rossiné interprète Madame Quince depuis le début janvier 2007, et ce jusqu'au fin janvier 2008, son nom ne figure pas sur ce site. D'autant plus que sa participation a beaucoup aidé la remontée de cette pièce!
Beaucoup de bonnes idées dans la mise en scène, et de fraîcheur dans le jeu des acteurs. On ne s’ennuie pas une minute de la deuxième scène jusqu’à la fin. Petit bémol : « l’habit de fait pas le moine », néanmoins un petit budget pour les costumes de Thésée, Hyppolita et Egée serait vraiment le bienvenu.
Venu voir Diana Stewart en Madame Quince depuis janvier, j'ai été bluffé par un ensemble de comédiens qui ont tous interprêtés avec enthousiasme et justesse les différents personages et qui, ensemble, nous ont donné un spectacle super. Bravo à Béla Grushka pour son coaching et à toute l'équipe qui ont si généreusement tout partagé avec nous et qui nous ont fait rire aux larmes. Ils étaient tous top. Et une mise en scène d'une fraicheur et une légereté. Un mélange harmonieux de l'ancien et du contemporain - du Shakespeare oui, mais vivant.
14 bis, rue Sainte Isaure 75018 Paris