Irma la douce

du 20 avril au 1 juillet 2000

Irma la douce

Non loin du pont Caulaincourt, au Bar des Inquiets, s'agite le petit monde du milieu. Irma la douce et Nestor le Fripé s'imaginent qu'une fille et son homme n'ont qu'à s'aimer pour que tout s'arrange. Mais il suffit au contraire de s'aimer pour que les ennuis commencent et la jalousie… la jalousie…

Introduction
Présentation de la pièce par Jérôme Savary
Petit lexique d'Irma la douce
La création d'Irma la douce à Paris
La Création d'Irma la douce à Londres et à New York
Avec les anges
Les différentes présentations d'Irma la douce

Introduction

L'Histoire qu'on va vous raconter, c'est l'histoire d'un ménage à deux : on ne voit pas ça tous les jours ! C'est par cette déclaration sentimentale qu'Alexandre Breffort commence le récit des aventures d'Irma la douce, car c'est avant tout une histoire d'amour.

Non loin du pont Caulaincourt, au Bar des Inquiets, s'agite le petit monde du milieu. Ce sont de petites gens, innocemment persuadées malgré leurs mauvaises habitudes que rien de très fâcheux ne peut leur arriver s'elles échappent à la police. Plus candides encore, Irma la douce et Nestor le Fripé s'imaginent qu'une fille et son homme n'ont qu'à s'aimer pour que tout s'arrange. Mais il suffit au contraire de s'aimer pour que les ennuis commencent et la jalousie… la jalousie…

On ne peut énumérer les malheurs et les joies de Nestor et d'Irma sans déflorer le sujet même de la pièce, mais ce qu'on peut dire, c'est qu'après les pires complications, les amants heureux s'en iront la main dans la main quand le rideau tombe.

Extrait du programme de la création

Présentation de la pièce par Jérôme Savary

Tout le monde connaît Irma la douce, mais paradoxalement, rares sont ceux qui se souviennent de l'intrigue. Bien sûr, on sait que c'est une petite fille de joie qui exerce du côté de Pigalle, qui a un amoureux, et qui chante des airs qui vous trottent dans la tête.

Mais se souvient-on que Nestor, qui est jaloux, et qui voudrait qu'elle arrête le métier, doit accepter, parce qu'ils sont dans le besoin, qu'Irma ait un amant, un vieux, un " cave ". Se souvient-on que cet amant, Oscar, barbu, distingué, n'est autre que Nestor lui-même ?... Se souvient-on qu'Irma finit par préférer Oscar à Nestor, et que ce dernier, jaloux de lui-même, assassine son double et est envoyé au bagne ?...

Irma est tout autre chose qu'une aimable petite comédie musicale. C'est un formidable livret. Et ce n'est pas un hasard si Peter Brook le monta en son temps.

Avec Gérard Daguerre, mon complice de la Périchole dont il écrivit les arrangements, nous avons voulu monter une Irma toute simple, comme elle a été écrite, loin de la version de Broadway. Une Irma du pont Caulaincourt, une Irma à la Breffort, tendre poète des faubourgs, à la Monnot, déchirant compositeur des plus belles chansons de Piaf.

Pas de grands effets musicaux, mais un petit orchestre (celui de mes derniers spectacles musicaux) mené de main de maître par Gérard au piano et renforcé par un prodige de l'accordéon : Roland Romanelli. Pas de grands ballets, pas d'effets spéciaux. L'histoire se suffit à elle-même.

Un coup de projecteur tendre sur un couple qui, à mon sens, égale les grands amants du répertoire.

Jérôme Savary
février 2000

Petit lexique d'Irma la douce

Assiettes Cour d'Assises
Bavard avocat
Caberlot cerveau
Chaouch surveillant de bagne
Choucarde jolie
Ecluser boire
Flambe jeu
Gniard enfant
Hareng proxénète
Maison Poulaga la police, 36 quai des Orfèvres
Mettre les adjas partir
Miché client d'une prostituée
Pageot lit
Palpitant/Battant cœur
Polka fille
Raisin sang
Scrafer tuer
Talbin billet
Tapis bistrot
Vaguer détrousser

La création d'Irma la douce à Paris

Le 11 novembre 1956, le théâtre Gramont présente une des œuvres les plus originales, attachantes et réussies de l'après-guerre : Irma la douce d'Alexandre Breffort, musique de Marguerite Monnot. Epouse du chef d'orchestre Raymond Legrand, Colette Renard n'est pas encore une vedette confirmée lorsque Paul Péri, le mari de Marguerite Monnot, lui propose le rôle principal d'Irma la douce. Le succès est immédiat et Colette Renard interprète le rôle 932 fois en tenant compte de la reprise de 1967. A la création, elle est entourée de René Dupuy (Bob le Hotu), Michel Roux (Nestor le Fripé) et Guy Piérault, Pierre Tornade, Maurice Chevit, Philippe Nyst… mise en scène René Dupuy.

A l'Athénée en 1967, ses partenaires s'appellent Franck Fernandel, René Dupuy et Maurice Chevit. Elle enregistre alors l'intégrale de l'ouvrage sur disque Véga.

Les réactions de la critique

L'anarchisme de café-concert a un charme désuet dont la belle simplicité attendrit les âmes sensibles. Alexandre Breffort joue de cette musique-là, qui est une musique fort douce, très frêle, heureuse de faire valser ceux qui savent l'aimer. Musique brave fille, un peu fleur bleue, et qui garde ses colères, colères modestes, pour la police et la magistrature. Cela ne manque pas de fraîcheur, fraîcheur qui naît de la naïveté simulée et de la facilité avouée. On respire à l'aise.

Irma la douce a la gentillesse de ces cœurs gravés en pleine écorce. Le tracé en est irrégulier, mais on peut y voir le signe du bonheur. Bonheur d'expression tout d'abord, puis une sorte de spontanéité gracieuse. La sentimentalité ne va jamais jusqu'aux larmes, et reste comme suspendue. Point de vulgarité, mais des calembours inusables, des trouvailles adroites, des répliques rapides. (…)

Les chansons de Marguerite Monnot, chansons charmantes et jamais sirupeuses nous emportent et font courir la pièce. Elles sont les articulations de cette comédie familière qui a pour ses personnages une sympathie amusée que tout semble satisfaire. (…)

Pierre Marcabru, Arts

Depuis le début de cette saison, le fait est si exceptionnel, je dirais même miraculeux, que, sans plus attendre, je vous adresse un télégramme : "allez voir Irma la douce. Stop. On s'amuse. Excellente soirée. Pouvez emmener petite amie ou oncle à héritage. Certitude conséquences heureuses". L'essentiel est dit.

Par ailleurs, il y a longtemps que je soupçonne Alexandre Breffort d'être un tendre. Ce doux anar met à ses bombes des mèches en accroche-cœur. Et quand il part en guerre, c'est la fleur bleue au fusil.

Breffort met du rose dans la série noire. C'est aux mauvais garçons et aux filles soumises qu'il confie le soin de perpétuer les traditions de la chevalerie.

(…) Ces attraits suffiraient à procurer une nombreuse clientèle à Irma la douce. Pourtant on leur a ajouté ceux de la partition écrite par Marguerite Monnot qui, sur des couplets finement ciselés, a mis une musique de la qualité la plus rare en ce domaine. Il y a là une quinzaine de chansons, humoristiques, émouvantes ou parodiques qui feront une jolie carrière.

Max Favalelli, Paris Presse

Opéra-comique dans le genre canaille, hautement satirique et franchement morale, cette pièce, montmartroise de moelle et d'humour, évite l'écueil de la vulgarité.

(…) La musique de Marguerite Monnot, ponctuée de demi-soupirs ironiques, se parodiant elle-même, force l'oreille et le cœur.

(…) Le conte est illustré d'images plaisantes, ponctué de répliques "rosses" qui évoquent l'art de Becque ou de Forain, assaisonné de pointes efficaces à l'égard de la justice, comme à Guignol, et de la société, comme dans le meilleur Bruant, fleuri de couplets fort bien chantés. Ce serait jouer les fâcheux que de bouder ce plaisant spectacle.

Georges Lerminier, Parisien Libéré.

Alexandre Breffort a réussi un tour de passe-passe bien difficile en traitant un sujet ultra scabreux sans tomber une seule seconde dans les pièges de la vulgarité et sans renoncer une seule minute à avoir de l'esprit. (…)

Quelques flèches décochées à la magistrature, au fisc et aux chanteurs de charme : on ne saurait égratigner avec plus de gentillesse.

Claude Baignères, Le Figaro

La Création d'Irma la douce à Londres et à New York

(…) Tous nos projets furent annulés et on abandonna l'idée de jouer à Londres, Irma la douce fut remise à plus tard et, pour arriver à New York à temps, je dus prendre un avion de Paris au milieu de la nuit le soir de la première de Vu du pont. De l'aéroport d'Orly, je téléphonai au théâtre et j'entendis les applaudissements qui prouvaient que tout s'était bien passé. Quelques semaines plus tard, ce même bruit chaleureux montrait que New York avait accepté cette pièce rude et violente. Le lendemain, j'étais de retour à Londres pour travailler sur Irma la douce. C'est là que le cercle se referme. Si je n'avais pas travaillé à Londres, je ne serais jamais tombé sur Vu du pont pour le monter à Paris. Si je n'avais pas travaillé à Paris, je n'aurais peut-être jamais trouvé Irma la douce, que je rapportais à Londres.

Une fois de plus, les discussions s'engagèrent. Les Américains, cette fois, furent choqués ; beaucoup virent la pièce à Paris et trouvèrent que, même si Broadway pouvait supporter des pièces violentes et rudes, il reculerait devant les innocentes aventures d'une prostituée. Nous allâmes voir Lord Chamberlain, maître de la censure. Il nous reçu dans le palais, en uniforme du XVIIIème siècle, et, à la surprise générale, laissa notre manuscrit intact. Il ne coupa qu'un seul mot, sans explication, "Kiki" – et je n'eus pas le cœur de lui dire qu'en argot parisien ce mot voulait dire le cou, rien de plus. Nous créâmes la pièce à Bornemouth. Les journalistes accoururent – au cas où Bornemouth serait choqué, ils voulaient être au courant. Bien entendu, Bornemouth l'accepta sans problème. Puis elle fut programmée à Londres, et là, à nouveau des protestations. Protestations de ceux qui furent choqués, et protestations de ceux qui s'attendaient à l'être et s'apercevaient qu'il n'y avait rien de choquant dans la pièce.

Peter Brook, Points de suspension, Seuil, 1992

Dès sa première représentation au Théâtre Gramont de Paris le 11 novembre 1956 avec, en vedette, Colette Renard, Irma la douce remporta un succès immense, et qui allait persister quatre ans durant. C'était là un véritable exploit dans une ville où, en dépit de son succès général partout ailleurs, la comédie musicale était invariablement boudée du public. Peut-être était-ce le charme louche des petites rues minables et ma l famées qui a séduit le public parisien si mondain et critique, avec ses petits casseurs à la noix et ses petites poules pas chères qui passent leur vie dans des bars douteux baignés des relents d'un accordéon nostalgique jouant un air de valse : enfin quelque chose de bien réel, que les Français connaissaient pour eux-mêmes, et non plus une de ces importations d'Amérique, telle Oklahoma ! auxquelles ils ne comprenaient rien et qui ne trouvaient d'ailleurs jamais leur audience dans la Ville Lumière.

Peut-être est-ce ce qui a séduit Julian More, Monty Norman et David Heneker, qui s'associèrent finalement au metteur en scène Peter Brook pour porter Irma en Angleterre. Peu importe la raison, de sérieux doutes furent émis quant à l'exportabilité des qualités du spectacle, écrivit More, expliquant son audacieuse décision d'en réaliser une version anglaise. La tendre histoire d'amour entre une prostituée et son proxénète, l'argot des casseurs exprimé dans les chansons (un glossaire était joint au programme, même à Paris !), la truculence française du dialogue , l'innocence élémentaire de la production parisienne – tout semblait pour ainsi dire impossible à restituer dans une langue aussi maladroite que l'anglais moderne quand il s'agit de parler d'amour…

Après avoir envoyé plusieurs versions à la corbeille, nous avons enfin trouvé le moyen de présenter Irma au public britannique : en évitant le cockney ou l'argot du Bronx, tant prisé par les sous-titreurs mais par trop nuisible au caractère gaulois du spectacle ; en utilisant, à leur place, quelques mots d'argot français dans leur version originale – milieu, poule, mec, grisbi – et en adaptant les paroles librement, le long de l'idée générale de Breffort, mais en créant nos propres formes et, dans certains cas, en réécrivant carrément le texte des chansons sur la musique de Monnot.

Ayant franchi sans trop d'encombre la censure de Lord Chamberlain, qui n'avait apparemment rien à redire à une bonne et saine comédie de mœurs, Irma la douce fut produite au Lyric Theatre de Londres le 17 juillet 1958, avec Elizabeth Seal en vedette, Keith Mitchell dans le rôle de Nestor et Clive Revill dans celui de Bob le Hotu.

Le 29 septembre 1960, c'était à New York, au Plymouth Theatre, que le spectacle faisait ses débuts, sous l'égide du producteur David Merrick, avec les mêmes vedettes, mais soutenues ici par une troupe de comédiens expérimentés de Broadway. (George S. Irwing, Fred Gwynne, Stuart Damon, Zack Matalon et bien d'autres encore).

La critique vint confirmer le succès déjà remporté à deux reprises, à Paris puis à Londres. Faites confiance aux Français pour faire du vice chose toute innocente, écrivait Howard Taubman dans le New York Times, tandis que Richard Watts commentait dans le New York Post : Comme il s'agit d'une histoire d'amour entre une prostituée parisienne et un jeune homme entre autres proxénète, le tout parmi une foule de personnages peu respectables et de policiers corrompus, ce spectacle ne peut se targuer d'une haute portée morale et il ne manquera pas d'en faire tiquer plus d'un. Mais son amalgame de cynisme et de romance est manié avec un charme si paradoxal… que tout en semble délicieusement chaleureux.

Et Walter Kerr de s'extasier, dans le Herald Tribune, sur les charmes séducteurs de l'héroïne : Elizabeth Seal, dans son interprétation, son chant et sa danse, est une poule parisienne qui a la chance de faire le métier qu'elle aime, et quand ce joli feu folet cogne le bar de sa cheville, quand, du bout de la langue seulement, elle produit d'impossibles mélodies, ou qu'elle transporte le Tout-Montmartre sur le rythme frénétique d'un tourbillonnant Dis-donc, il ne vous reste plus, vous convainc-t-elle qu'à l'envelopper et à l'emporter, toute rôtie. La musique, aussi, respire la curieuse magie des vieux bateaux à aube du Mississippi et des premiers music-halls. Marguerite Monnot, dont la musique donne si bien au xylophone et au piano de bastringue, vient, semble-t-il, de découvrir le rythme du rag-time, et les syncopes étranges à la Jelly Roll Morton qui émanent de la fosse d'orchestre et animent avec tant d'entrain les comédiens, dégagent un charme irrésistible. S'il en sort un album avec la distribution originale, achetez-le !

Faut-il le dire, un album fut bel et bien enregistré, troupe originale au grand complet, par Goddard Lieberson pour Columbia Records le 2 octobre 1960, faisant tomber la nation entière sous le charme d'une délicieuse petite poule française.

Didier C. Deutsch, mars 1991

Avec les anges

On est protégés par Paris,
Sur nos têtes veille en personne
Sainte-Gen'vièv' la Patronne
Et c'est comm'si
L'on était bénis.
Y a rien à s'dire, y a qu'à s'aimer
Y a plus qu'à s'tair', qu'à la fermer
Parce qu'au fond, les phrases
Ca fait tort à l'extase.
Quand j'vois tes châsses, moi, ça m'suffit
Pour imaginer l'paradis
Je m'débin' – c'est étrange ! –
Avec les anges.
Va, c'est pas compliqué du tout,
En somme, y a qu'à s'écouter vivre,
Le reste, on lit ça dans les livres
Où qu'on s'dit : "vous",
Tandis que chez nous…
Y a rien à s'dire, y a qu'à s'aimer
Y a plus qu'à s'tair', qu'à la fermer,
Parce qu'au fond, les phrases
Ca fait tort à l'extase.
Les gens qui se croient intelligents
Qu'est ce qu'ils peuvent se dire de plus les gens
Quand ils se sont dit qu'ils s'aiment
Comme nous mêmes.
Amour toujours c'est peut-être idiot
Il y a pourtant pas d'autre mot
Pour dire le nécessaire
Quand on veut être sincère.
Quand j'vois tes châsses, moi, ça m'suffit
Pour imaginer l'paradis,
Je m'débin' – c'est étrange ! –
Avec les anges.
C'est dur à croire qu'il est plus là
Qu'il soit plus là, c'est dur à vivre.
Un ch'min sans fleurs, c'est long à suivre
Y a plus de lilas
Quand le cœur y est pas…
Un homme, un vrai, ça n'a pas d'prix.
Depuis qu'le mien, ils me l'ont pris,
J'suis plus qu'un' môme perdue
Qui chiale au fond des rues…
Une homme, un vrai, ça vous tient chaud
Au palpitant comme à la peau,
Et j'ai froid d'êt' tout' seule,
Sans toi, ma gueule !

Les différentes présentations d'Irma la douce

Au théâtre en France
1956 : création au Théâtre Gramont, mise en scène René Dupuy, Colette Renard est Irma la douce, Michel Roux Nestor le Fripé.
1967 : reprise au Théâtre de l'Athénée, Colette Renard est Irma la douce, Franck Fernandel Nestor le Fripé
1977 : reprise au Théâtre Fontaine, Joëlle Vauthier est Irma la douce, Georges Beller Nestor le Fripé
1978 : Nantes et région nantaise, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Francine Bouffard est Irma la douce, Jean-Luc Tardieu Nestor le Fripé, Loïc Volard Bob le Hotu
1981 : reprise Nantes et région nantaise, Joëlle Vauthier est Irma la douce, entourée de Jean-Luc Tardieu et Loïc Volard
1992 : Saint-Etienne, Tours et Nancy, mise en scène Bernard Pisani, Sophie Destaing est Irma la douce, Eric Boucher Nestor le Fripé.

Au Théâtre en Angleterre et Etats-Unis
1958 : Lyric Theatre de Londres, mise en scène Peter Brook, avec Elizabeth Seal en Irma la douce, Keith Mitchell en Nestor le Fripé et Clive Revill en Bob le Hotu. 1512 représentations
1960 : reprise au Plymouth Theatre de New York, même mise en scène, même distribution. 524 représentations

Au cinéma aux Etats-Unis
1963 : réalisation Billy Wilder, avec Shirley MacLaine en Irma la douce, Jack Lemmon en Nestor le Fripé.

En 1997-1998, en Italie, le Teatro Stabile del Friuli-Venezia a créé une version italienne d'Irma la Douce, mise en scène par Antonio Calenda, avec Daniela Giovaneti et Fabio Camilli. Cette production a tourné dans toute la péninsule : Politeama di Trieste, Teatro Manzoni di Milano, Teatro Sistina di Roma, Teatro Diana di Napoli, Teatro Alfieri di Torino, Politeama di Genova, Teatro comunale di Rimini, Teatro comunale di Imola, Arena del Sole di Bologna…

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

Informations pratiques

Chaillot - Théâtre national de la Danse

1, Place du Trocadéro 75016 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Librairie/boutique Restaurant Salle climatisée Tour Eiffel Vestiaire
  • Métro : Trocadéro à 96 m
  • Bus : Trocadéro à 31 m, Varsovie à 271 m, Pont d'Iéna à 297 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Chaillot - Théâtre national de la Danse
1, Place du Trocadéro 75016 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 1er juillet 2000

Pourraient aussi vous intéresser

Spectacle terminé depuis le samedi 1er juillet 2000