Une soirée en hommage à la danseuse et chorégraphe Carlotta Ikeda. De la petite fille joueuse à la femme-sphinx, UTT livre un portrait intemporel de femmes à diverses étapes de leur vie, réincarnées dans le corps de la danseuse.

Avec Sors, Pedro Pawels propose une relecture de La Danse de la sorcière, mythique solo de Mary Wigman, mère de l'expressionnisme en danse et, si l'on ose dire, grand-mère spirituelle de Pina Bausch.

Carlotta Ikeda, figure tutélaire de la danse butô, rencontre Pascal Quignard autour de la Médée d'Euripide. L'auteur écrit un texte face auquel la danseuse se mesure pour concevoir un solo. Danser l'amour, écrire la préméditation, incarner l'effroi, exprimer le caractère complexe et contradictoire de cette femme qui représente l'humanité à travers sa passion et l'inhumanité par ses actes...

Carlotta Ikeda, figure tutélaire de la danse butô, rencontre Pascal Quignard autour de la Médée d'Euripide. L'auteur écrit un texte face auquel la danseuse se mesure pour concevoir un solo. Danser l'amour, écrire la préméditation, incarner l'effroi, exprimer le caractère complexe et contradictoire de cette femme qui représente l'humanité à travers sa passion et l'inhumanité par ses actes...

Au début des années 80, Carlotta Ikeda et Ko Murobushi créaient Zarathoustra. Cette œuvre a marqué les esprits : la danse contemporaine occidentale découvrait là un autre langage chorégraphique : le Buto. Ils recréent aujourd’hui et font évoluer ce spectacle-phare de leur carrière. Autour des thèmes nietzschéens de la libération du corps, du triomphe de la joie et du plaisir, de l’amour et de la mort, six danseuses d'origines différentes interprètent ces variations.

Pour sa deuxième escale consécutive au Théâtre Silvia Monfort, le festival Faits d’hiver - danses d’auteurs poursuit sa recherche d’une danse contemporaine tonique, inventive et ludique. Ainsi, les chorégraphes proposés représentent-ils des générations d’auteurs en plein déploiement de leurs œuvres respectives, témoins de la diversité de la danse contemporaine française et de sa richesse esthétique.

Carlotta Ikeda a su conjuguer au féminin la danse Butô. En solo ou en groupe, elle explore la profonde alchimie des chairs, de l'érotisme et de l'extase. Ses deux derniers spectacles Waiting et Haru no Saiten ont été présentés au Théâtre de la Bastille en 1998 et 1999.

Carlotta Ikeda a su conjuguer au féminin la danse Butô. En solo ou en groupe, elle explore la profonde alchimie des chairs, de l'érotisme et de l'extase. Ses deux derniers spectacles Waiting et Haru no Saiten ont été présentés au Théâtre de la Bastille en 1998 et 1999.