Vita brevis # bis

• Un bouleversant hymne à la vie et à la tolérance

De nos jours à Buenos Aires, une journaliste célèbre fait la découverte d’un manuscrit oublié. Il s’agit d’une lettre adressée à Saint-Augustin, écrite par Floria (avec laquelle il eut un enfant), ancienne maîtresse qu’il a abandonnée, comme Didon le fût par Enée, pour se consacrer aux honneurs de la béatitude...

Comme une réponse aux confessions de Saint-Augustin, Floria tente de déjouer certains « aveux » de celui qui institua, dans un élan d’intégrisme « au nom du rejet de la femme et de toute forme de concupiscence », la chasteté. Un bouleversant hymne à la vie et à la tolérance.

• La presse

« C’est beau, réussi et bien joué, et nous rappelle, au cas où on l’aurait oublié, que la vie est brève, qu’il faut savoir en jouir et fuir tous les fanatismes ! » Politis

« La mise en scène de Jean-Luc Paliès est remarquable. Il instaure un espace intemporel où le public navigue entre aujourd'hui et le IVème siècle. » La Provence

« Le dialogue dépoussière un des textes fondateurs de l’église Catholique. » Le courrier de l’Ouest