Amor amor

On y suit l’histoire d’Ottavia, travesti revenant dans la pension de sa mère à Buenos Aires afin d’y régler ses comptes. Dans cet établissement haut en couleurs se croisent des personnages tout aussi pittoresques : une grand-mère fumeuse d’herbe, deux vieilles filles austères réfrénant leur nymphomanie, un bellâtre macho et une prostituée aux jambes de rêve. Représentations d'avril annulées au Comedia.

Représentations d'avril annulées au Comedia.

  • Comédie musicale

On y suit l’histoire d’Ottavia, travesti revenant dans la pension de sa mère à Buenos Aires afin d’y régler ses comptes. Dans cet établissement haut en couleurs se croisent des personnages tout aussi pittoresques : une grand-mère fumeuse d’herbe, deux vieilles filles austères réfrénant leur nymphomanie, un bellâtre macho et une prostituée aux jambes de rêve.

Entre cris et crises, les règlements de comptes à la latine ont une propension certaine à l’hystérie. On s’aime, on se déchire, on se quitte, on se retrouve, et comme on est en Argentine, on y danse aussi le tango… C'est loufoque, drôle, politiquement incorrect. On pense, bien entendu, aux premiers Almodovar et aussi à Fellini.

  • Note d'intention

Ce spectacle pourrait se définir comme une revue-cabaret-théâtre argentin. Le texte est une création d’un jeune auteur argentin dans lequel il a injecté différents passages de la littérature, du théâtre et du cinéma argentins. Le tout mêlé à divers morceaux musicaux chantés en direct par les comédiens. L’esprit est baroque, coloré, rythmé et plein d’humour.

Huit comédiens sur le plateau avec des personnages plus différents et plus déjantés les uns que les autres. Des costumes, perruques et chapeaux colorés. Une bande son musicale étonnante. Cette pension de famille est un reflet de ce qui se passe réellement dans certains quartiers de Buenos Aires. On crie, on s’injurie, on pleure, on commente les ragots, mais on joue, on chante et on danse. On se déteste mais on s’adore.

La pièce traite du rapport et des relations au sein d’une famille, du refus de l’homosexualité, de l’emprise de la mère et de l’absence du père. Tout cela avec une forme légère et divertissante, grâce entre autre à la musique.

  • La presse

 " Dans ce rôle de travesti, Sebastiàn Galeota est absolument fabuleux. Il (...) Le spectacle de Federico Mora est irrégulier, mais possède néanmoins beaucoup de charme. La mise en scène, très enjouée et rythmée de Stéphan Druet, porte la trace des univers d’Arias et de Savary. Les beaux décors de Roberto Platé, comme les somptueux costumes de Michel Dussarat, donnent un cachet très kitsch à ce divertissement bien déjanté ! " M-C.N., Pariscope

 " Un spectacle décoiffant et inclassable, bien dans la manière du metteur en scène Stéphan Druet. " Pierre Gervason, Le Monde magazine

 " C'est du cabaret hystérico-baroque à frous-frous au bord de la crise de nerfs. (...) Mes piques assassines, sport national des travelos, sont à elles seules un régal (...). " Têtu

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Le Théâtre Libre
4, boulevard de Strasbourg 75010 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 24 avril 2011

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