Le monde est à tout le monde

Paris 1e
du 10 au 24 février 2001

Le monde est à tout le monde

Tout Public à partir de trois ans.
Spectacle pour les rêveurs toutes catégories. Même que les enfants le conseillent à leurs parents... et vice versa !

L’histoire
Avant-propos
Vagabondages
Le parti pris artistique
La presse
La compagnie

Tout Public à partir de trois ans.
Spectacle pour les rêveurs toutes catégories. Même que les enfants le conseillent à leurs parents... et vice versa !

Un spectacle ou chaque objet pousse les portes de l’imaginaire, un univers poétique volontairement naïf, un parcours initiatique fait de souvenirs et de parfums d’enfance, un monde ou le réel se laisserait enfin guider par l’utopie..

L’histoire

Martin Martin, employé modèle (quoique...), mène une vie bien ordinaire. Un jour, dans la malle de son grenier, il découvre un curieux dormeur sorti de la nuit des temps, un Capitaine (un peu pirate...). Celui-ci va entraîner notre Martin, héros malgré lui, dans une succession de mondes imaginaires. Sa vision du monde s’en trouvera transformée... Et si tout cela n’était qu’un jeu, celui d’y croire... Attention, détournement d’objets ! Un duo d’acteur, sans paroles ou presque.

Une malle pour tout décor. Théâtre de geste et d’objet.

Avant-propos

Voici donc un spectacle sur ce qui est peut-être vrai et ce qui ne l’est pas mais qui pourrait l’être.

Un spectacle ou chaque objet pousse les portes de l’imaginaire.
Un univers poétique et burlesque volontairement naïf.
Un parcours initiatique fait de souvenirs et de parfums d’enfance.
Un monde ou le réel se laisserait enfin guider par l’utopie...

Vagabondages

Les grands messieurs avec des visages si sérieux, des airs si sévères, des vêtements si austères, des allures si empressées, des regards si inquiets, des certitudes si ancrées n’ont-ils pas d’imaginaire, ce trésor cache, ce jardin secret de l’enfance, cette part de rêve qui ne demande qu’à renaître au premier capitaine corsaire rencontre ou retrouve ‘ Vous allez nous dire que les capitaines pirates au long cours, ça ne courre pas les rues de nos jours, que ça date un petit peu ‘Et alors ‘ Vous n’avez jamais fouille dans un grenier, dans une vieille malle ‘ Pour y retrouver tel ou tel objet perdu qui pourrait vous être à nouveau utile ‘ Et plutôt que de quitter les lieux, dès l’objet de vos recherches retrouvé, ne vous êtes-vous pas plonge dans un voyage rêveur au fil de votre mémoire, au gré de vos souvenirs retrouves ‘

Et dans ce rêve éveillé, n’avez-vous pas pris la barre en réécrivant votre histoire pour partir dans des mondes imaginaires " Et si, en ouvrant votre malle, vous réveilliez un vieux capitaine de vos ancêtres et que celui-ci vous intimait l’ordre de le suivre " Ou " Apparemment dans une vieille malle... Qu’est-ce que vous feriez  ? " 

Le parti pris artistique

Ce spectacle est, pour nous, le plus représentatif de notre travail artistique de création. Il définit bien les sources et les objectifs de notre travail. D’abord, les " auteurs " (comédiens et metteur en scène) ont travaille sur l’idée d’un ou plusieurs mondes rêves ou utopiques, a la table et sur le plateau. Puis, avec l’aide des enseignants, ils ont demande aux enfants de quelques classes des écoles primaire et maternelle de Murviel les Montpellier, de s’exprimer librement sur des mondes existants ou non, point de départ pour un premier voyage avec les mots. Les plus jeunes ont ensuite signes des évocations en dessin et les plus vieux, des écrits relatifs par exemple à de nouveaux textes de lois...

De tous ces matériaux est née une idée du spectacle à venir et à concrétiser dans le jeu des acteurs. Les enfants ont suivi ensuite les répétitions du spectacle et son écriture. Avec un dialogue constant. Ce processus de création a permis de mettre en oeuvre une forme de narration particulière s’approchant au plus près, nous semble-t-il, des modes de fonctionnement ludique des enfants, laissant place à un imaginaire débridé, ou toute pensée, ou tout acte, ou tout objet deviennent prétextes a des vagabondages riches en détournements de sens, en découvertes...

L’enfant, quand il entre dans ce type de relation avec son environnement, expérimente celui-ci, il apprend à le connaître, sous toutes les coutures, avec son propre mode d’expression. C’est pour lui un outil formidable de développement personnel et d’appropriation du monde.

C’est une manière d’approcher l’autre, ici, le public, qui nous a paru intéressante de reprendre dans l’écriture de notre spectacle. Ainsi, nous proposons à voir des images qui n’existent que dans la tête de chaque spectateur. Nous détournons tous les objets qui se trouvent dans notre malle de leur sens et de leur utilité. Nous ne disons que quelques mots, les autres sont à formuler dans les esprits des enfants jeunes ou adultes qui sont présents et disponibles pour ce voyage. Ce voyage, cette pensée, tend à l’universel, tout bonnement : tout le monde ou presque peut le vivre avec ses moyens, pas d’obstacles et de problemes de comprehension orale dans un spectacle presque sans paroles, les mondes evoques temoignent de l’existence d’un autre patrimoine culturel international. Le très jeune enfant captera par endroit du sens logique et a d’autres, il se laissera bercer par son propre imaginaire. Plus tard, bien après le spectacle, il pourra s’approprier les données qu’il aura emmagasinées,, tissant à son rythme les fils de l’observation et de la compréhension...

Donner à voir tous ces possibles et toutes ces nuances, pour nos deux comédiens, c’est d’une véritable performance physique dont il s’agit : les mondes s’enchaînent à grande vitesse et en cinquante minutes, ils n’ont pas un moment pour souffler...

Et nous, nous sommes heureux de proposer cette évocation qui fait la part belle au spectateur, qui le laisse libre d’entreprendre avec nous ce voyage, libre de mettre tel nom, tel mot, plutôt qu’un autre sur le sujet, libre de choisir la couleur de son rêve, la musique de son imaginaire... Chemin faisant, nous avons l’impression d’être comme dans un livre plutôt qu’a la télé... Pour ‘l’imagination au pouvoir’, pour ‘la curiosité : en avant’ et
l’ouverture sur le monde. Le monde de l’extérieur mais aussi celui du dedans, celui des souvenirs et des rêves, riche à libérer en chacun de nous... C’est ce que nous tentons...

Un bateau, une mer, un désert, un pharaon, New York, le travail au bureau, le patron, les machines, la grotte, la banquise en guise de patinoire, les glaces a l’italienne, les rennes du père Noël, le ciel, les étoiles et les planètes... Bon voyage !

La presse

 " ... un joli spectacle jeune public. Place à l’imaginaire débridé... il y a du ‘Tintin’ la-dedans... On voit ce que l’on a envie de croire... Dans la salle [du Cratère], les enfants résument bien la nature du spectacle : Ils se lèvent pour mieux voir les stalagmites décrites... Le spectacle s’achève sur une planète en ombre chinoise [ ] ultime clin d’œil a une imagination débordante. " A. Boucomont- Midi Libre Cévennes - 22 janvier 2000

 " La malle magique : tout un spectacle ! Un voyage extraordinaire... un très joli conte plein de poésie... une création très soignée... " M. C. Harant - La Gazette de Montpellier

Une création Compagnie Art Mixte : l’imaginaire au pouvoir pour une poésie burlesque et naïve

La compagnie

Art Mixte a commence ses activités en 86/87 sous le nom de compagnie Joël Collot Théâtre (association Loi 1901). A lui tout seul, il a déjà crée trois spectacles jeune public quand Fabiola Dalle le rejoint en 1992. Ils créent ensemble trois nouveaux spectacles pour enfants et les activités se diversifient. En plus du jeune public, voici venir la création tout public (Le baiser de la femme araignee-93, Le troisième mensonge-95, Pourquoi j’ai mange mon pere-99) et l’action culturelle, avec les ateliers de pratique théâtrale, lorsque la compagnie s’installe en résidence, à Murviel les Montpellier, en 1996. C’est le moment que choisissent Jérôme Benest et Paul-Marie Plaideau pour rejoindre la troupe, suivis de Valérie Douton en 1999.

Ensemble, ils mettent en place une action culturelle qui se développe autour des ateliers-théâtre que la Compagnie anime à Murviel, avec la création d’un Festival annuel nomme Fête du R.A.T. (Rencontre Ateliers Théâtre) qui voit chaque année se côtoyer artistes en herbe et professionnels, dans un esprit guinguette et fête de village dédiée au théâtre. Cette fête et son esprit ne se conçoivent pas sans son collectif de 50 bénévoles qui prépare l’évènement toute l’année. Depuis, en plus du Festival, Art Mixte accueille dans une salle municipale une petite saison de spectacle vivant (cf. revue de presse).

Autour de ses créations et dans le cadre de sa résidence, Art Mixte multiplie les actions de sensibilisations : lectures et repetitions publiques, interventions pedagogiques, exposition, debats... L’essentiel reste le travail de creation. Tout public avec les adaptations de grands romans contemporains universels pour donner à voir un théâtre d’aujourd’hui a de nouveaux publics... Jeune public avec une vision du monde personnelle et théâtrale, naïve, poétique, burlesque, un travail réalise à partir même de l’imaginaire des enfants et de son fonctionnement étudies lors d’ateliers de création. Actuellement sont en préparation une adaptation pour marionnettes et comédiens du Petit Prince et un projet de retour aux sources du théâtre de rue... Art Mixte, aujourd’hui, c’est : Joel Collot, directeur artistique, Paul-Marie Plaideau, responsable de la programmation, de la production et de la diffusion, Jerome Benest, comedien-coordinateur, Valerie Douton et Maeve Harrison, mediatrices...

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3, rue des Déchargeurs 75001 Paris

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Plan d’accès

Déchargeurs
3, rue des Déchargeurs 75001 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 24 février 2001

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