La Crevette d'Acier - A part ça tout va bien

Paris 20e
du 18 au 30 mars 2008
1h30

La Crevette d'Acier - A part ça tout va bien

Chansons à voir. Imaginez 4 gars et une femme comédiens-musiciens-chanteurs avec de sacrés gueules, un charisme fou, de l’humour noir, décalé, un brin de nostalgie, un zest de tendresse un regard acéré et impitoyable sur le monde, une écriture brillante, une musique inventive, une interprétation déjantée, un vent de folie et vous pourrez imaginer à quoi ressemble la Crevette d’Acier.
  • Chansons à voir

Imaginez 4 gars et une femme comédiens-musiciens-chanteurs avec de sacrés gueules, un charisme fou, de l’humour noir, décalé, un brin de nostalgie, un zest de tendresse un regard acéré et impitoyable sur le monde, une écriture brillante, une musique inventive, une interprétation déjantée, un vent de folie et vous pourrez imaginer à quoi ressemble la Crevette d’Acier.

Ses thèmes de prédilection : le temps qui passe, la vie qui tousse, la mort qui tranche et une certaine inaptitude au bonheur.

Le casting : prestigieux. Des anti-héros absolus qui rêvent d'ailleurs et d'ailleurs, rêvent-ils ? Corine, Jean-Pierre, Marion, Sergio, Gérard Chassin, Denis, pantins d'une réalité qui leur échappe.

La musique - bande originale de ces brins de vie souligne les traits, ouvre des points de vues, accompagne les histoires de ces personnages ou au contraire en prend le contrepied. Swing, incisive, nostalgique, parfois joyeuse, jamais figée elle ouvre l’imaginaire vers le formidable univers de la Crevette d’Acier.

Avec : Chloé Lacan alias Monique Truchard (voix, accordéon), Mathias Castagné alias Jacky Lebeuf (guitares, banjo, violoncelle, voix), Damien Dutrait alias Jean-Claude Clark (voix, sax, clarinette, clavier), et Vincent Tirilly alias Michel Martin (voix) + son invité permanent à la batterie et au clavier Nicolas Cloche alias Remi Brochard.

  • Premières parties

1ère partie Zlot : 18 mars à 20h
1ère partie Batlik : 30 mars à 19h

  • La presse

« Les caricatures au trait fin, à la ligne claire, tracent des situations impitoyables et une galerie de personnages aux destins douteux, mais humains, attachants qui nous ressemblent, avec leurs faiblesses et leurs outrances. Aveux (pas dupes) de nos impuissances, ces drames drôles réveillent en nous une part d’optimisme que soutiennent un phrasé rythmé de la part des chanteurs successifs ou simultanés et une diversité d’instruments acoustiques variés et plaisants… » Chorus, Michel Trihoreau, Eté 2007

« (…)des groupes méconnus qui n’ont pas encore cédé aux sirènes de l’artistiquement correct, méritent les honneurs de la rampe : les Fatals Picards et la Crevette d’Acier assument un discours décalé sur une société rose au teint et de droite dans ses bottes (…) se moquer (…) des convictions des vraies gens, c’est faire fi du concept de démocratie participative pour celui plus créatif et plus récréatif, d’irrévérence participative. » Olivier Maison, Marianne, 24 février au 2 mars 2007

« (…) ils promènent un regard à la fois tendre et dur sur leurs contemporains. Tout comme dans les Fables de la Fontaine, les personnages qui peuplent leurs chansons sont confrontés à nos peurs : la vieillesse, la cruauté, le ridicule. Tour à tour music-hall, tango ou musette, jazz ou java ( …) Un groupe qui ira loin, à écouter et à voir au plus vite pour s’ouvrir l’esprit. » Anne Hidalgo, L'Express, semaine du 08 mars 2007

« Ses chansons ne manquent pas d’air ( …) brossent des tableaux endiablés de la vie et de la folie ordinaires ; voix ouvertes sur des précipices terrifiants et attirants. Et là où le groupe se révèle le plus pertinent, c’est quand son inventivité et sa causticité nous mènent vers des vérités difficiles à dire et à chanter : la vieillesse, la peur, la cruauté, la jalousie…La Crevette adore pincer ce que nous évertuons trop souvent à cacher. Quand ça fait mal, ça fait mouche. » Valérie Lehoux, Télérama du 10 au 16 février 2007

« Humour noir et théâtral. Chanson poil à gratter aux cauchemars parfois inquiétants ; inventivité décomplexée. La Crevette agite le bocal de la chanson. » Télérama Sortir, février 2007

« De nombreux portraits touchants ou loufoques, jalonnent ce cd (…) cet album empreint de beaucoup d’humour, de dérision voire d’insolence, peut avoir la prétention de nous faire réfléchir « car dans ce monde de fous, l’avenir dépend de nous. » Celine Moineau, francofans, février 2007

« (…) Armés d'humour noir, ils ont franchi depuis bien longtemps la frontière étriquée du premier degré pour se laisser aller à un franc et sain décalage. Sur scène, La crevette d'acier donne à voir ses chansons peu banales autant qu'à les entendre. Chanteurs et musiciens multi-instrumentistes, les cinq artistes flirtent sans répit avec la comédie pour donner vie à leurs histoires loufoques… A dormir debout. » La scène nationale d’Alençon

« Côté répertoire, La crevette d'acier s'isncrit dans la mouvance néo-réaliste et le swing musette qui, de Karpatt à Alexis HK, délivre des petites tranches de vie ordinaire, les petits bonheurs de la vie se passe comme si de rien. Entre farce et burlesque, La crevette d'acier jette un regard tendre sur sa galerie de portraits. Du sourire à l'émotion. Avec des chansons réalistes et un humour plutôt noir… » MM, froggydelight.com, janvier 2007

« Chaque titre semble écrit en effet comme un court métrage, mettant en scène un anti-héros (…)Tout un programme. Et quel programme ! Guitare, violoncelle, banjo, piano, batterie, clarinette, accordéon… Les instruments valsent, les rimes swinguent et le groupe nous embarque dans une farandole bariolée d’arpèges et saynètes attachantes. Les textes oscillent entre le tragique et le comique. Sous la plume acérée et fine de Vincent Tirilly, ils passent en revue le quotidien dans une débandade de vies un peu foireuses et de gamelles existentielles. Un peu comme la vraie vie, finalement. Entre humour noir et tendre. » Aena Léo, musiqualite.net, janvier 2007

« C’est très chanson française dans la forme et très punk dans le fond, la douceur des arpèges contrastant irrésistiblement avec la force des rimes ! Drôle et touchante à la fois, La Crevette d’Acier nous présente ses héros du quotidien (…) et nous délecte de quelques brûlots intrigants comme Le Sénat ou Baby blues. Faisant appel à un sens de l’observation fort bien aiguisé, Vincent/Michel brosse ses portraits avec un subtil dosage de vitriol et de tendresse qui donne à A part ça tout va bien un petit cachet exceptionnel. » Fred Delforge, zicazic, janvier 2007

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Spectacle terminé depuis le dimanche 30 mars 2008

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